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√ Arrivée le : 08/12/2012
√ Date de naissance : 22/01/1990
√ Gène : Wraith
√ Age : 34
√ Messages : 11473
La mission du jour pour Eversman : escorte d'une diplomate sur le continent pour qu'elle règle un problème avec les athosiens. Cela avait déjà l'air passionnant sur le papier mais c'était mieux que de longues heures de garde , figé à un lieu. Le nom de la médiatrice était Roslin. Il en avait entendu parler, peut être même déjà croisé mais il ne parvenait pas à lui associer à un visage. En même temps, il avait toujours des difficultés avec ça étant très peu physionomiste.
10h10. Cela faisait déjà plus de dix minutes que le Ranger se tournait les pouces en attendant après son pilote qui n'était autre que la même personne que la personne à accompagner. C'était pas très sérieux. D'habitude c'était lui qui se faisait attendre et pas l'inverse et il devait avouer que c'était assez chiant. Il avait eu le temps de farfouiller les différentes poches de son gilet tactique, vérifier que le cran de sécurité était bien en place sur son beretta et commençait à s'attaquer aux ongles de sa main droite.
12 minutes maintenant de retard... Matt lui laissait encore trois minutes avant de demander davantage d'informations aux techniciens. Peut être que celle-ci était encore dans son lit en train de rêver de négociations âpres, d'un monde de bisounours mais lui avait dû le quitter pour l'accompagner... Peut être allait-il devoir la tirer gentillement du lit ? Et peut être qu'avec un peu de chance, il tomberait sur une très belle créature ? Il pouvait toujours espérer. C'est fou comme les sièges des jumpers étaient peu confortables, on pouvait difficilement abaisser le siège pour l'incliner davatange.
10h10. Cela faisait déjà plus de dix minutes que le Ranger se tournait les pouces en attendant après son pilote qui n'était autre que la même personne que la personne à accompagner. C'était pas très sérieux. D'habitude c'était lui qui se faisait attendre et pas l'inverse et il devait avouer que c'était assez chiant. Il avait eu le temps de farfouiller les différentes poches de son gilet tactique, vérifier que le cran de sécurité était bien en place sur son beretta et commençait à s'attaquer aux ongles de sa main droite.
12 minutes maintenant de retard... Matt lui laissait encore trois minutes avant de demander davantage d'informations aux techniciens. Peut être que celle-ci était encore dans son lit en train de rêver de négociations âpres, d'un monde de bisounours mais lui avait dû le quitter pour l'accompagner... Peut être allait-il devoir la tirer gentillement du lit ? Et peut être qu'avec un peu de chance, il tomberait sur une très belle créature ? Il pouvait toujours espérer. C'est fou comme les sièges des jumpers étaient peu confortables, on pouvait difficilement abaisser le siège pour l'incliner davatange.
Une mission l'attendait, régler un conflit avec les Athosiens sur le continent, qu'elle n'eut pas encore la chance de rencontrer auparavant, le peuple de « Teyla Emagan ». Elle eut un rapport de conflit donné personnellement par Elizabeth Weir la veille de son départ. Parait-il que plusieurs voles d'objet personnel (précieux) et d'aliment ont eu lieu ces dernières semaines. Puis ce qu'elle doit le régler, *En voiture Simone, c'est moi qui conduis c'est toi qui klaxonne* Elle avait lu sur le rapport, qu'un militaire l'escorterait, un certain « Eversman », comme si elle avait besoin d'un militaire, elle fût plus émoustillée quand elle lue aussi qu'elle serait la pilote du Jumper. Ça sera le deuxièmes fois pour elle qu'elle pilotera un Jumper.
10:05: Bien, après avoir lue ce rapport avec précision, elle passa par la salle de contrôle pour récupérer la copie des derniers Jumpers et personnels qui ont quitté la Cité pour ce rendre sur le Continent, elle jeta dans la foulée un coup d'oeuil sur les différentes feuille que Chuck lui avait imprimée. Elle se dirigea après vers le complexe des Jumpers où ce Eversman devait sûrement l'attendre.
10 :13 : Elle arriva devant le Jumper immatriculé 05, ça n'a pas loupé, le Sergent l'attendait, elle entra dans le Jumper avec toute sa paperasse. Elle salua le Sergent Maître. Quand il se retourna pour la saluer en retour, elle fût tétanisée. Elle ne se souvenait plus réellement du nom de celui-ci, qui avait fichu un bordel dans la cité, mais elle connaissait ce visage. Elle avait entendu qu'il avait agressé une ou plusieurs personnes et prit la fuite dans la cité. *Putain, mais elle est malade Weir elle m'a foutu avec ce taré dans les pattes*. Elle garda son calme le plus sérieusement possible et se retenait de pouvoir demander une autre personne pour l'accompagner, mais si le Dr Weir ou Jonh l'a remis en fonction, sûrement qu'il y ait de bonnes raisons.
10:05: Bien, après avoir lue ce rapport avec précision, elle passa par la salle de contrôle pour récupérer la copie des derniers Jumpers et personnels qui ont quitté la Cité pour ce rendre sur le Continent, elle jeta dans la foulée un coup d'oeuil sur les différentes feuille que Chuck lui avait imprimée. Elle se dirigea après vers le complexe des Jumpers où ce Eversman devait sûrement l'attendre.
10 :13 : Elle arriva devant le Jumper immatriculé 05, ça n'a pas loupé, le Sergent l'attendait, elle entra dans le Jumper avec toute sa paperasse. Elle salua le Sergent Maître. Quand il se retourna pour la saluer en retour, elle fût tétanisée. Elle ne se souvenait plus réellement du nom de celui-ci, qui avait fichu un bordel dans la cité, mais elle connaissait ce visage. Elle avait entendu qu'il avait agressé une ou plusieurs personnes et prit la fuite dans la cité. *Putain, mais elle est malade Weir elle m'a foutu avec ce taré dans les pattes*. Elle garda son calme le plus sérieusement possible et se retenait de pouvoir demander une autre personne pour l'accompagner, mais si le Dr Weir ou Jonh l'a remis en fonction, sûrement qu'il y ait de bonnes raisons.
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Des bruits de pas l'alertèrent qu'une personne daignée enfin à quitter son agréable fauteuil de bureau pour le rejoindre. Ayant connaissance du poste occupé par cette dénommée Roslin, le militaire prit la peine de se lever pour saluer son interlocutrice et ne put empêcher un froncement de sourcil en découvrant une femme d'un certain âge ou du moins pas une petite jeunette comme il se l'était imaginé. Le ranger pouvait remballer toutes les petites idées qu'il avait pu avoir durant les dernières minutes et se rasseoir dans son siège. La journée risquait d'être longue...
L'observant prendre place en position de pilote, Matt ne put s'empêcher de ressentir une certaine peur l'envahir en la voyant chercher les boutons pour faire fonctionner l'appareil. Visiblement elle semblait ne pas être une experte en pilotage et ça c'était pas franchement rassurant.
"C'est votre premier vol ?"
Si elle lui répondait "oui", il y avait de grandes chances que le militaire prenne les jambes à son cou par esprit de survie mais elle répondit négativement. Elle pouvait très bien lui mentir mais venait en même temps d'activer le vaisseau et de déclencher la fermeture de la porte arrière. Plus d'issue de secours. Il n'avait plus qu'à prier intérieurement le Seigneur Aragorn, le Dieu Mario et Messi ainsi que sa maman. Les premières minutes furent laborieuses, l'homme était bien sagement assis dans son fauteuil, prêt à prévenir Atlantis en cas de manœuvres douteuses pour obtenir de l'aide mais tout se déroula bien. Même pas de looping ou de tonneaux.
"Quel est le but de votre déplacement sur le continent, Madame ?"
Il se sentait obligé d'ajouter ce Madame à la fin ayant presque l'impression de s'adresser à sa moman.
L'observant prendre place en position de pilote, Matt ne put s'empêcher de ressentir une certaine peur l'envahir en la voyant chercher les boutons pour faire fonctionner l'appareil. Visiblement elle semblait ne pas être une experte en pilotage et ça c'était pas franchement rassurant.
"C'est votre premier vol ?"
Si elle lui répondait "oui", il y avait de grandes chances que le militaire prenne les jambes à son cou par esprit de survie mais elle répondit négativement. Elle pouvait très bien lui mentir mais venait en même temps d'activer le vaisseau et de déclencher la fermeture de la porte arrière. Plus d'issue de secours. Il n'avait plus qu'à prier intérieurement le Seigneur Aragorn, le Dieu Mario et Messi ainsi que sa maman. Les premières minutes furent laborieuses, l'homme était bien sagement assis dans son fauteuil, prêt à prévenir Atlantis en cas de manœuvres douteuses pour obtenir de l'aide mais tout se déroula bien. Même pas de looping ou de tonneaux.
"Quel est le but de votre déplacement sur le continent, Madame ?"
Il se sentait obligé d'ajouter ce Madame à la fin ayant presque l'impression de s'adresser à sa moman.
Après son choc psychologique, elle s'installa sur le fauteuil pilote, Roslin n'était plus là. Corporellement, elle l'était, mais son esprit était ailleurs. Pourtant à Harvard, on lui avait apprit à ne jamais perdre contrôle de sois-même. Mais quand on a un fou à côté de soit...
Elle regarde le tableau de bord, en cherchant désespérément le bouton pour fermer la porte du Jumper, elle bougea ses mains, pour trouver le bouton, mais elle avait les yeux fixé sur le cadran de contrôle de la porte, à chercher comment pouvoir se sortir de là. Ce crétin avait osé lui demander si c'était son premier vol, elle avait envie de lui répondre /Et vous, c'est la première fois que vous vous exilez dans une cité aussi grande que celle là ?/. L'ambiance était glaciale. Elle reprit ses esprit à cette question « Non, ce n'est pas mon premier vol » en le fixant droit dans les yeux, avec ses lunettes à ras bord des narines.
Malheureusement pour elle, elle avait enfin trouvé ce bouton, et appuya dessus pour fermer la porte. Voilà qu'elle se trouvait enfermée avec un fou furieux.
Elle pausa ses mains devant elle, sur le panneau de contrôle qui était sur le tableau de bord. Et le panneau s'alluma, une petite secousse frémissait le Jumper. Elle appuya sur le bouton juste au dessous du Cadran de contrôle qui donnait un contact direct avec la salle de contrôle.
« Sale de Contrôle, ici Jumper 05, demandons l'autorisation de décoller ». Le Sergent à côté faisait une drôle de tête, quand elle posa cette question, sûrement devait-il penser qu'elle se prenait un peu trop pour une militaire, mais le protocole « est » le protocole. La tour de contrôle répondit aussitôt après la question de Roslin.
« Autorisation accordée, bon vol Jumper 05. ».
Le Sergent lui avait posée une question, dans le plus grand respect soit-il, elle resta tout de même sur ses gardes, après tout, on ne connaît jamais assez les militaires pour les cerner. Il lui demanda la raison de son départ vers le continent. Un moment de blanc s'installa, elle était concentré sur le décollage du Jumper. Une concentration énorme était requise pour faire décoller une carcasse pareil. Elle était concentrée sur le décollage, après que le jumper s'était mit à léviter, les portes du plafond s'ouvrirent pour laisser passer le Jumper. *J'ai bien crûs de pas pouvoir y'arriver*
« Un conflit avec les Athosiens, il y-a eut des vols d'alimentaires et d'objets personnels, j'ai fais des années d'études à Harvard, tout ça pour aller régler des problèmes minimes avec des sauvageons ». Voilà qui était le peuple Athosien pour Laura.
Une fois que le Jumper avait traverser le champ de force qui protégeait Atlantis, ils avaient une vue magnifique sur l'Océan, et espéra de tout son cœur qu'il allait la fermer pour la laisser admirer cette vue. Que demander de plus, être dans une autre Galaxie, dans une cité inconnue et magnifique, avoir une vue resplendissante sur un Océan, elle le serait encore mieux si le sergent n'était pas là.
Elle regarde le tableau de bord, en cherchant désespérément le bouton pour fermer la porte du Jumper, elle bougea ses mains, pour trouver le bouton, mais elle avait les yeux fixé sur le cadran de contrôle de la porte, à chercher comment pouvoir se sortir de là. Ce crétin avait osé lui demander si c'était son premier vol, elle avait envie de lui répondre /Et vous, c'est la première fois que vous vous exilez dans une cité aussi grande que celle là ?/. L'ambiance était glaciale. Elle reprit ses esprit à cette question « Non, ce n'est pas mon premier vol » en le fixant droit dans les yeux, avec ses lunettes à ras bord des narines.
Malheureusement pour elle, elle avait enfin trouvé ce bouton, et appuya dessus pour fermer la porte. Voilà qu'elle se trouvait enfermée avec un fou furieux.
Elle pausa ses mains devant elle, sur le panneau de contrôle qui était sur le tableau de bord. Et le panneau s'alluma, une petite secousse frémissait le Jumper. Elle appuya sur le bouton juste au dessous du Cadran de contrôle qui donnait un contact direct avec la salle de contrôle.
« Sale de Contrôle, ici Jumper 05, demandons l'autorisation de décoller ». Le Sergent à côté faisait une drôle de tête, quand elle posa cette question, sûrement devait-il penser qu'elle se prenait un peu trop pour une militaire, mais le protocole « est » le protocole. La tour de contrôle répondit aussitôt après la question de Roslin.
« Autorisation accordée, bon vol Jumper 05. ».
Le Sergent lui avait posée une question, dans le plus grand respect soit-il, elle resta tout de même sur ses gardes, après tout, on ne connaît jamais assez les militaires pour les cerner. Il lui demanda la raison de son départ vers le continent. Un moment de blanc s'installa, elle était concentré sur le décollage du Jumper. Une concentration énorme était requise pour faire décoller une carcasse pareil. Elle était concentrée sur le décollage, après que le jumper s'était mit à léviter, les portes du plafond s'ouvrirent pour laisser passer le Jumper. *J'ai bien crûs de pas pouvoir y'arriver*
« Un conflit avec les Athosiens, il y-a eut des vols d'alimentaires et d'objets personnels, j'ai fais des années d'études à Harvard, tout ça pour aller régler des problèmes minimes avec des sauvageons ». Voilà qui était le peuple Athosien pour Laura.
Une fois que le Jumper avait traverser le champ de force qui protégeait Atlantis, ils avaient une vue magnifique sur l'Océan, et espéra de tout son cœur qu'il allait la fermer pour la laisser admirer cette vue. Que demander de plus, être dans une autre Galaxie, dans une cité inconnue et magnifique, avoir une vue resplendissante sur un Océan, elle le serait encore mieux si le sergent n'était pas là.
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Le terme "sauvageons" fit apparaître un bref sourire sur les lèvres du Ranger. La Rouge ne devait pas les porter dans son cœur pour employer un tel terme même si cela résumait plutôt bien la condition athosienne. Visiblement la dame ne pensait pas que de telles affaires la concernaient vu que Madame avait fait Harvard - habile manière d'ailleurs d'avoir placée son prestigieux cursus - et donc valait nettement mieux que ça... Ou pas d'ailleurs vu qu'elle y était employée par Weir. Peut être que Roslin tapait sur les nerfs de la Chef d'expédition qui avait alors décidé de l'envoyer hors des murs de la Cité. Elle semblait bien imbu d'elle même et Matt avait hâte de la découvrir avec les pieds dans la boue du campement, quelques "sauvageons" autour pour l'embêter un peu. Havard serait bien loin à ce moment là...
Un mouvement brusque du jumper le sortit de ses pensées le ramenant directement à la réalité. Observant la pilote du jour, il se demanda bien si le mouvement du jumper était volontaire ou non mais elle ne laissait rien filtrer... Il avait quelques doutes sur la question et finit par reporter son attention sur l'océan qui s'étalait à perte de vue en dessous d'eux. Les deux n'ayant rien à se dire la traversée risquait d'être longue et Matt ne put s'empêcher de soupirer avant de s'étirer quelque peu en tirant sur ses doigts.
Après un bon moment de vol dans un silence quelque peu pesant, le continent fut visible et il demeurait maintenant une manœuvre quelque peu délicate à savoir l'atterissage et on se demande pourquoi mais Eversman n'était pas très rassuré. Activant le commutateur radio du vaisseau, il s'empressa d'alerter les équipes sur place.
// Continent, Jumper 05 en approche. Dégagez la piste d'atterrissage... Simple mesure de précaution. //
Avait-il confiance dans les qualités de pilote de sa coéquipière du jour ? Pas vraiment... et puis une manière à lui de se venger pour l'attente...
Un mouvement brusque du jumper le sortit de ses pensées le ramenant directement à la réalité. Observant la pilote du jour, il se demanda bien si le mouvement du jumper était volontaire ou non mais elle ne laissait rien filtrer... Il avait quelques doutes sur la question et finit par reporter son attention sur l'océan qui s'étalait à perte de vue en dessous d'eux. Les deux n'ayant rien à se dire la traversée risquait d'être longue et Matt ne put s'empêcher de soupirer avant de s'étirer quelque peu en tirant sur ses doigts.
Après un bon moment de vol dans un silence quelque peu pesant, le continent fut visible et il demeurait maintenant une manœuvre quelque peu délicate à savoir l'atterissage et on se demande pourquoi mais Eversman n'était pas très rassuré. Activant le commutateur radio du vaisseau, il s'empressa d'alerter les équipes sur place.
// Continent, Jumper 05 en approche. Dégagez la piste d'atterrissage... Simple mesure de précaution. //
Avait-il confiance dans les qualités de pilote de sa coéquipière du jour ? Pas vraiment... et puis une manière à lui de se venger pour l'attente...
En plein air dans ce jumper, presque arrivé à la destination prévu, le continent. Il n'était plus qu'à quelque minute de l'atterrissage. Le jumper fit un mouvement brusque, cela ne venait pas de Laura. Elle était perdue dans ses pensées, elle reprit très vite ses esprits pour avoir le total contrôle du Jumper. Elle avait entendu le sergent s'adresser à l'équipe qui était au sol, comme si c'était une demeurée aux commandes du Jumper, il demandait de dégager la piste, une « simple mesure de précaution ». Selon lui C'était peut-être la deuxième fois que Laura avait un Jumper à son commandement, mais elle était entraînée pour ça. Intérieurement, elle était en colère d'être prise pour une débutante. Soudainement elle redressa ses mains sur les pauses-coudes du fauteuil, et le Jumper était en libre chute. Le vaisseau perdit de l'altitude à chaque seconde et allait se cracher sur le contient. Elle vit très bien la tête du sergent s'écrouler, il n'en croyait pas ses yeux.On aurait dit qu'elle faisait une attraction à Disney World. Elle s'adressa à lui avec un ton assez prétentieux.
« Bon, j'attends votre mesure de précaution » Puis elle reposa les mains sur le panneau de contrôle, seulement une trentaine de secondes après, pour reprendre les commandes du Jumper. Juste après avoir fait son pitch, elle se souviendra toute sa vie de la tête du sergent. Elle lâcha un fou rire nerveux, elle n'en pouvait plus. Elle suffoquait tellement c'était drôle. La pauvre petite biche avait peur pour sa pauvre vie misérable dans l'armée. « Ha ! Alors ça va Sergent ? Votre pantalon n'est pas mouillé, j'espère, je ne plaisante pas avec l'hygiène ».
« Bon, j'attends votre mesure de précaution » Puis elle reposa les mains sur le panneau de contrôle, seulement une trentaine de secondes après, pour reprendre les commandes du Jumper. Juste après avoir fait son pitch, elle se souviendra toute sa vie de la tête du sergent. Elle lâcha un fou rire nerveux, elle n'en pouvait plus. Elle suffoquait tellement c'était drôle. La pauvre petite biche avait peur pour sa pauvre vie misérable dans l'armée. « Ha ! Alors ça va Sergent ? Votre pantalon n'est pas mouillé, j'espère, je ne plaisante pas avec l'hygiène ».
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Lorsque le jumper changea de trajectoire en piquant du nez, Eversman s'empressa de tourner la tête vers la jeune femme. Cette dernière avait tout simplement lâché les commandes, ses mains ne touchant plus le dispositif ancien et l'observait avec un sourire certain. Alternant les regards entre elle et l'extérieur, Eversman ne put s'empêcher de lui gueuler de reprendre les commandes.
"Reprenez les commandes, Roslin !!!!!"
Oui, la panique était présente dans le ton du Sergent qui voyait la terre se rapprocher de façon très rapide, trop rapide. La radio s'était d'ailleurs enclenchée pour demander ce qui se passait à bord du vaisseau mais le Ranger était cramponné dans son siège. Là, son pistolet t ses muscles se servaient à rien du tout et le sol se rapprochait très rapidement, beaucoup trop rapidement... Il se voyait déjà s'écraser brutalement et finalement le jumper se redressa décélérant immédiatement.
Soupir de soulagement côté Eversman mais cela fut de suite remplacé par une colère noire envers la mouette rieuse à côté de lui. Elle l'avait fait exprès. Elle avait lâché volontairement les commandes pour lui faire peur et avait manqué de les faire s'écraser. Tout ça pour l'impressionner ou lui faire peur... et là elle se permettait de le charrier...
"Allez vous faire voir, Roslin...Quand vous serez face aux sauvageons, vous ferez moins votre maligne..."
Sur ces derniers mots, le Ranger s'était levé et était allé s'asseoir dans le compartiment arrière. la laissant se charger des manœuvres d'atterissage. Oui, il n'appréciait pas qu'on se fiche de lui et avait préféré s'exiler plutôt que de lâcher des mots ou avoir des gestes qu'il risquait de regretter. Il rongeait son frein en silence tentant de se calmer, de prendre sur lui mais il savait que tôt ou tard, il aurait sa vengeance sur elle. Il finit par ressentir une légère secousse témoignant de leur arrivée sur la terre ferme et se releva pour activer l'ouverture de la porte arrière. N'attendant pas sa coéquipière, ce dernier sortit à l'extérieur aussitôt accueilli par une petite équipe de scientifiques qui le questionnèrent sur l'étrange trajectoire du jumper en phase d'approche.
"Voyez avec elle..."
Le Ranger continua son chemin sur une dizaine de mètres avant de s'arrêter. De grandes inspirations furent nécessaires pour le calmer et le ramener dans ses gonds.
"Reprenez les commandes, Roslin !!!!!"
Oui, la panique était présente dans le ton du Sergent qui voyait la terre se rapprocher de façon très rapide, trop rapide. La radio s'était d'ailleurs enclenchée pour demander ce qui se passait à bord du vaisseau mais le Ranger était cramponné dans son siège. Là, son pistolet t ses muscles se servaient à rien du tout et le sol se rapprochait très rapidement, beaucoup trop rapidement... Il se voyait déjà s'écraser brutalement et finalement le jumper se redressa décélérant immédiatement.
Soupir de soulagement côté Eversman mais cela fut de suite remplacé par une colère noire envers la mouette rieuse à côté de lui. Elle l'avait fait exprès. Elle avait lâché volontairement les commandes pour lui faire peur et avait manqué de les faire s'écraser. Tout ça pour l'impressionner ou lui faire peur... et là elle se permettait de le charrier...
"Allez vous faire voir, Roslin...Quand vous serez face aux sauvageons, vous ferez moins votre maligne..."
Sur ces derniers mots, le Ranger s'était levé et était allé s'asseoir dans le compartiment arrière. la laissant se charger des manœuvres d'atterissage. Oui, il n'appréciait pas qu'on se fiche de lui et avait préféré s'exiler plutôt que de lâcher des mots ou avoir des gestes qu'il risquait de regretter. Il rongeait son frein en silence tentant de se calmer, de prendre sur lui mais il savait que tôt ou tard, il aurait sa vengeance sur elle. Il finit par ressentir une légère secousse témoignant de leur arrivée sur la terre ferme et se releva pour activer l'ouverture de la porte arrière. N'attendant pas sa coéquipière, ce dernier sortit à l'extérieur aussitôt accueilli par une petite équipe de scientifiques qui le questionnèrent sur l'étrange trajectoire du jumper en phase d'approche.
"Voyez avec elle..."
Le Ranger continua son chemin sur une dizaine de mètres avant de s'arrêter. De grandes inspirations furent nécessaires pour le calmer et le ramener dans ses gonds.
Voyant que ça petite plaisanterie était mal prise ... elle le laissa aller à l'arrière du jumper sans le retenir ou s'excuser. Laura détester être prise pour une imbécile. Il a tout simplement récolté ce qu'il a semé.
- Quel petit con, Marmona t'elle
Une fois le jumper posé sur la terre ferme, elle n'eut pas le temps de retirer sa ceinture qu'elle entendit la porte du jumper s'ouvrire, elle vit aussi le sergent sortir du vaisseau enragé. Pauvre de lui. Une fois que laura sorti avec son petit paquetage de diplomate, un petit comité l'accueilla, en se demandant ce qui s'était passé dans les airs au vu de la petite mascarade de Laura
- Oh, ne vous inquiétez pas, ce n'était qu'une petite blague qui n'a pas du tout apprécié par le sergent. Un léger sourir s'esquissa sur son visage pour rassurer les scientifiques qui se tennaient devant elle.
Elle avait bien remarqué que le sergent n'avait pas du tout, mais vraiment pas, apprécié son pitch, après tout, elle l'emmerde hein, c'est pas un petit millitaire de pacotille qui va venir la faire chier sur son lieu de travail, il n'avait qu'à la prendre au sérieux. Une fois que tout était claire pour les scientifiques qui les avaient accueuillis, ils se dirigèrent vers le campement, avec le sergent Eversman qui faisait régner une ambiance glaciale.
- Sergent, disait t'elle d'une voix détendue, vous êtes toujours remonté ? Car il est hors de question que vous nous imposiez votre mauvaise humeur, ais-je était assez claire ?
- Quel petit con, Marmona t'elle
Une fois le jumper posé sur la terre ferme, elle n'eut pas le temps de retirer sa ceinture qu'elle entendit la porte du jumper s'ouvrire, elle vit aussi le sergent sortir du vaisseau enragé. Pauvre de lui. Une fois que laura sorti avec son petit paquetage de diplomate, un petit comité l'accueilla, en se demandant ce qui s'était passé dans les airs au vu de la petite mascarade de Laura
- Oh, ne vous inquiétez pas, ce n'était qu'une petite blague qui n'a pas du tout apprécié par le sergent. Un léger sourir s'esquissa sur son visage pour rassurer les scientifiques qui se tennaient devant elle.
Elle avait bien remarqué que le sergent n'avait pas du tout, mais vraiment pas, apprécié son pitch, après tout, elle l'emmerde hein, c'est pas un petit millitaire de pacotille qui va venir la faire chier sur son lieu de travail, il n'avait qu'à la prendre au sérieux. Une fois que tout était claire pour les scientifiques qui les avaient accueuillis, ils se dirigèrent vers le campement, avec le sergent Eversman qui faisait régner une ambiance glaciale.
- Sergent, disait t'elle d'une voix détendue, vous êtes toujours remonté ? Car il est hors de question que vous nous imposiez votre mauvaise humeur, ais-je était assez claire ?
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L’idée de planter la diplomate germait de plus en plus dans l’esprit du Sergent Eversman. Après tout, il pouvait bien prétexter être malade après sa conduite dangereuse et hop il serait débarrassé d’elle pour un petit moment. Certains scientifiques semblaient le dévisager ce à quoi il répondit par un regard noir avant de repérer Roslin en train de prendre la direction du campement. Gardant l’idée de la maladie en tête et après un long soupir, Matt prit sur lui et rattrapa la diplomate au début du campement.
L’attitude froide du sous-officier, visage fermé, regard noir fit écarter plusieurs personnes de leur personne. Il avait l’air d’une brute épaisse mal réveillée et il répliqua sèchement à la remarque de Roslin.
« Je n’ai aucun ordre à recevoir de vous, Madame. Je n’en reçois que de mes supérieurs.… Ais-je été assez clair, Roslin ? »
Tout cela avait été prononcé sans lui accorder le moindre regard. Le militaire remettait clairement les points sur les i avec la diplomate en rappelant le statut de chacun. La traversée des prémices du camp athosien fut rapide pour se rendre au petit campement terrien installé au cœur des athosiens, cela pour faire la liaison avec eux. Menant Roslin jusqu’à l’officier en charge des affaires du camp, Matt la délaissa le temps de la conversation et en profita pour rejoindre quelques hommes du rang en poste devant la tente.
« Matt, quelle surprise… Tu as une sale tête, mec… »
« Crois-moi si tu trainais un boulet pareil, tu ne serais pas mieux… File me chercher un coca… »
A peine eut-il la canette en main que Roslin passa devant lui continuant sa route en direction du campement. Lâchant un juron, il dissimula la canette dans une poche de son treillis avant de rejoindre la vieille bique s’enfonçant dans le camp athosien pour sûrement régler le soucis après avoir reçu les informations.
L’attitude froide du sous-officier, visage fermé, regard noir fit écarter plusieurs personnes de leur personne. Il avait l’air d’une brute épaisse mal réveillée et il répliqua sèchement à la remarque de Roslin.
« Je n’ai aucun ordre à recevoir de vous, Madame. Je n’en reçois que de mes supérieurs.… Ais-je été assez clair, Roslin ? »
Tout cela avait été prononcé sans lui accorder le moindre regard. Le militaire remettait clairement les points sur les i avec la diplomate en rappelant le statut de chacun. La traversée des prémices du camp athosien fut rapide pour se rendre au petit campement terrien installé au cœur des athosiens, cela pour faire la liaison avec eux. Menant Roslin jusqu’à l’officier en charge des affaires du camp, Matt la délaissa le temps de la conversation et en profita pour rejoindre quelques hommes du rang en poste devant la tente.
« Matt, quelle surprise… Tu as une sale tête, mec… »
« Crois-moi si tu trainais un boulet pareil, tu ne serais pas mieux… File me chercher un coca… »
A peine eut-il la canette en main que Roslin passa devant lui continuant sa route en direction du campement. Lâchant un juron, il dissimula la canette dans une poche de son treillis avant de rejoindre la vieille bique s’enfonçant dans le camp athosien pour sûrement régler le soucis après avoir reçu les informations.
« Je n’ai aucun ordre à recevoir de vous, Madame. Je n’en reçois que de mes supérieurs.… Ais-je été assez clair, Roslin ? »
Il avait osé... il ne savait pas à qui s'en prendre. Le système anti-connard de Laura vennait de se délencher. De quel droit il lui parlait comme tel. Ce n'était pas une façon de faire. Elle pensit bien à ce moment là qu'elle allait lui en coller une. Elle arrêta tout le petit commité pour s'adrésser au Sergent, en fronssant les sourcils
- Ecoutez moi attentivement sergent, nous sommes en mission interne, à vrai dire je ne sais même pas pourquoi Elizabeth nous à mis ensemble, je ne crains rien ici, et puis vous ne me servez à pas grand chose à part faire votre "beau". Des ordres ? vous n'êtes pas chef d'équipe, 99% du travail qu'on va faire ici, viendra de moi. Maintenant, arrêtons en ici, si j'ai besoin de vous, je vous ferais signe, vous pouvez disposer sergent.
A ce moment là, ce n'était pas Laura qui parlait, mais son subconscient, elle était entré dans une colère noir, tellement noir qu'elle était prête à le frapper. Elle n'avait pas énormément de chance vu son gabari de diplomate. Elle attendait juste qu'il fasse le moindre petit faux pas pour pouvoir demander au commandement de le faire relever de ses fonctions.
Elle marmonat de colère ... Petit millitaire sans grande importance, un pion parmi les autres, à croire que nous sommes sous vos ordres.
Trop longtemps avait duré leur règne à vouloir prendre des décisions pour pas grand chose. Laura attendait patiemment de prendre le commandement d'Atlantis, enfin, si se jour vennait à venir. Malgré les protocoles qui divisent les civils et les millitaires, elle lui aurait pourri la vie d'une manière innévitable.
Il avait osé... il ne savait pas à qui s'en prendre. Le système anti-connard de Laura vennait de se délencher. De quel droit il lui parlait comme tel. Ce n'était pas une façon de faire. Elle pensit bien à ce moment là qu'elle allait lui en coller une. Elle arrêta tout le petit commité pour s'adrésser au Sergent, en fronssant les sourcils
- Ecoutez moi attentivement sergent, nous sommes en mission interne, à vrai dire je ne sais même pas pourquoi Elizabeth nous à mis ensemble, je ne crains rien ici, et puis vous ne me servez à pas grand chose à part faire votre "beau". Des ordres ? vous n'êtes pas chef d'équipe, 99% du travail qu'on va faire ici, viendra de moi. Maintenant, arrêtons en ici, si j'ai besoin de vous, je vous ferais signe, vous pouvez disposer sergent.
A ce moment là, ce n'était pas Laura qui parlait, mais son subconscient, elle était entré dans une colère noir, tellement noir qu'elle était prête à le frapper. Elle n'avait pas énormément de chance vu son gabari de diplomate. Elle attendait juste qu'il fasse le moindre petit faux pas pour pouvoir demander au commandement de le faire relever de ses fonctions.
Elle marmonat de colère ... Petit millitaire sans grande importance, un pion parmi les autres, à croire que nous sommes sous vos ordres.
Trop longtemps avait duré leur règne à vouloir prendre des décisions pour pas grand chose. Laura attendait patiemment de prendre le commandement d'Atlantis, enfin, si se jour vennait à venir. Malgré les protocoles qui divisent les civils et les millitaires, elle lui aurait pourri la vie d'une manière innévitable.
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« OK… »
Voilà la seule réponse qui vint au Sergent après le mini discours de Roslin. Elle ne voulait plus de lui, elle voulait évoluer et se débrouiller seule dans le campement athosien, il était ravi par conséquent de pouvoir tourner les talons. Un soulagement mêlé d’un certain sentiment de joie se répandit à l’intérieur de Matt tandis qu’il parcourait la dizaine de mètres le séparant du campement terrien où il fut accueilli par les sourires des deux hommes de rang en poste.
« Déjà de retour ? »
« Ouep, Mamie veut se balader seule… Tant mieux pour moi. »
Le sourire sur le visage du Matt en disait long sur son plaisir de ne plus être avec son boulet du jour. La canette rangée dans sa poche de treillis refit surface avant d’être ouverte pour fêter ce petit événement. Les deux autres étaient amusés par la relation catastrophique entre le Sergent et cette dame qu’ils ne connaissaient que de vue et qui leur semblaient des plus agréables. Ceux-ci ne cessèrent de charrier le sous-officier, le prétendant amoureux avant que la conversation ne s’oriente vers les différentes équipes de football américain ainsi que les transferts de l’été. Difficile pour eux de se tenir au courant si loin de la terre mais les membres de l’équipage du Dédale semblaient avoir apporté de nombreuses informations lors de leur dernier aller-retour.
« Peters a pas intérêts d’aller chez les Eagle, il vaut mieux pour lui qu’il rejoigne les Patriots… »
Et ainsi de suite… Les bières avaient faits leur apparition malgré l’heure plutôt matinale mais football et bières ne pouvaient aller l’un sans l’autre.
Voilà la seule réponse qui vint au Sergent après le mini discours de Roslin. Elle ne voulait plus de lui, elle voulait évoluer et se débrouiller seule dans le campement athosien, il était ravi par conséquent de pouvoir tourner les talons. Un soulagement mêlé d’un certain sentiment de joie se répandit à l’intérieur de Matt tandis qu’il parcourait la dizaine de mètres le séparant du campement terrien où il fut accueilli par les sourires des deux hommes de rang en poste.
« Déjà de retour ? »
« Ouep, Mamie veut se balader seule… Tant mieux pour moi. »
Le sourire sur le visage du Matt en disait long sur son plaisir de ne plus être avec son boulet du jour. La canette rangée dans sa poche de treillis refit surface avant d’être ouverte pour fêter ce petit événement. Les deux autres étaient amusés par la relation catastrophique entre le Sergent et cette dame qu’ils ne connaissaient que de vue et qui leur semblaient des plus agréables. Ceux-ci ne cessèrent de charrier le sous-officier, le prétendant amoureux avant que la conversation ne s’oriente vers les différentes équipes de football américain ainsi que les transferts de l’été. Difficile pour eux de se tenir au courant si loin de la terre mais les membres de l’équipage du Dédale semblaient avoir apporté de nombreuses informations lors de leur dernier aller-retour.
« Peters a pas intérêts d’aller chez les Eagle, il vaut mieux pour lui qu’il rejoigne les Patriots… »
Et ainsi de suite… Les bières avaient faits leur apparition malgré l’heure plutôt matinale mais football et bières ne pouvaient aller l’un sans l’autre.
Bien que le Sergent ait disposé, n'empêchez qu'il avait bien mit Laura en colère, mais pour une courte durée. Il ne fallait pas oublié la raison de leurs arrivés. C'était une grande première pour Laura, de débarquer sur le campement Athosien, cela restait très homme de cromagnon. Ca ne la gênait pas, elle adorait l'histoire.
Une fois en vu du campement des Terrien qui vivent en communauté avec les Athosien, elle chercha à s'adressé au responsable, un sergent ? un scientifique, elle n'en savait pas plus que ça. Elle n'eut pas le temps de faire un quelcquonque breffing sur Atlantis, avec toute ses affaires à faire, elle avait demandé à repoussé cette mission, avec un refus catégorique de Weir.
Enfin bon, elle était là un point c'est tout. Elle commençait à avoir de légère sueur froide, elle détestait travailler dans le flou. Elle se dirigea alors vers le Eversman, qui, lui, était avec ses amis du boulot hein. A boire je ne sais quoi. Elle s'adressa généralement au groupe d'Atlantis qui se tenait devant elle sans préciser qu'elle personne.
Où se trouve l'officier suppérieur sur le continent je vous pris? En regardant les hommes de rangs qui se tennait devant elle.
Une fois en vu du campement des Terrien qui vivent en communauté avec les Athosien, elle chercha à s'adressé au responsable, un sergent ? un scientifique, elle n'en savait pas plus que ça. Elle n'eut pas le temps de faire un quelcquonque breffing sur Atlantis, avec toute ses affaires à faire, elle avait demandé à repoussé cette mission, avec un refus catégorique de Weir.
Enfin bon, elle était là un point c'est tout. Elle commençait à avoir de légère sueur froide, elle détestait travailler dans le flou. Elle se dirigea alors vers le Eversman, qui, lui, était avec ses amis du boulot hein. A boire je ne sais quoi. Elle s'adressa généralement au groupe d'Atlantis qui se tenait devant elle sans préciser qu'elle personne.
Où se trouve l'officier suppérieur sur le continent je vous pris? En regardant les hommes de rangs qui se tennait devant elle.
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Le football américain n’intéressant par les deux soldats européens présents, la discussion s’orienta sur les résultats de la Coupe du Monde de football. Bien sur l’Allemand fut fier de rappeler que son équipe avait gagné la coupe mais les deux autres étaient bien décidés témoigner leur soutien à leur équipe nationale.
« Laisse nous encore un peu de temps et on finira par la ramener chez nous cette coupe ! »
N’étant pas un grand spécialiste, Matt ne pouvait argumenter comme le faisait le français en citant de nombreux joueurs en devenir. La discussion était animée entre eux mais demeuraient dans un bon esprit, chacun charriant l’autre sur les résultats de l’équipe, les choix de l’entraineur ou tout simplement sur les préjugés que chacun pouvait avoir sur l’autre. Le temps passait rapidement lorsqu’on était en bonne compagnie et un coup de coude ainsi qu’un geste de la tête de son voisin de droite le ramena à la réalité.
Roslin était de retour au campement et se dirigeait vers eux. Par mesure de précaution, le Sergent posa la bière qu’il avait entre la main après en avoir bu une dernière gorgée s’attendant à se prendre une remarque. Fausse alerte… Quoique Eversman ne put s’empêcher de plisser légèrement les yeux, méfiant quant à ses propos avec l’officier en charge. Elle est capable de beaucoup de choses, il en avait été témoin lors du vol aller et appréhendait déjà la retour. L’un des hommes la renseigna en lui indiquant la grande tente sur la droite.
« Laisse nous encore un peu de temps et on finira par la ramener chez nous cette coupe ! »
N’étant pas un grand spécialiste, Matt ne pouvait argumenter comme le faisait le français en citant de nombreux joueurs en devenir. La discussion était animée entre eux mais demeuraient dans un bon esprit, chacun charriant l’autre sur les résultats de l’équipe, les choix de l’entraineur ou tout simplement sur les préjugés que chacun pouvait avoir sur l’autre. Le temps passait rapidement lorsqu’on était en bonne compagnie et un coup de coude ainsi qu’un geste de la tête de son voisin de droite le ramena à la réalité.
Roslin était de retour au campement et se dirigeait vers eux. Par mesure de précaution, le Sergent posa la bière qu’il avait entre la main après en avoir bu une dernière gorgée s’attendant à se prendre une remarque. Fausse alerte… Quoique Eversman ne put s’empêcher de plisser légèrement les yeux, méfiant quant à ses propos avec l’officier en charge. Elle est capable de beaucoup de choses, il en avait été témoin lors du vol aller et appréhendait déjà la retour. L’un des hommes la renseigna en lui indiquant la grande tente sur la droite.
Après ce que l'escorte de Roslin lui fit faire, elle ne voulait pas que sa journée soit gâchée par des "sauvageons". L'officier supérieur m'indiqua la grande tente à droite. Le sergent l'avait rejoint, sûrement par une mesure de précaution. Elle refusa d'entrer dans un nouveau conflit avec Eversman. Elle s'arrêta avant d'entrer devant la tente et s'adressa au sergent droit dans les yeux.
- Restez devant s'il vous plaît. Et elle entra dans la tente.
Et là... subjuguée par ce qu'elle voit, un vieux sage à moitié fou en train de marmonner tout seul, sûrement le leader qui remplacait Teyla, avec autour de lieu, un comité. Un jeune homme assez séduisant, l'invita à s'installer d'un signe de la main face à ce beau monde.
- Expliquez moi ce qu'il se passe ici, d'une voix agréable et soucieuse. Elle était bien obligée, elle ne pouvait se permettre de les agresser, ils étaient nos partenaires.
Le vieil homme arrêta de marmonner et prit la parole en lançant un regard si noir qu'elle en eut des frissons dans le dos.
- Vos amis, ils nous obligent à restreindre notre nourriture, à nous rationner, depuis des générations, nous chassons, nous pêchons sans que qui que ce soit ne nous disent comment faire pour que nous restions en vie. Elle sortit son petit dossier de sa mallette, un rapport était glisser entre deux pages vierges. Elle jeta un coup d'oeuil sur le rapport pour être sûr que ce qu'on lui avait dit était réels, car eux n'avaient pas prit conscience de la gravité de leurs actes
- Ecoutez... sur le rapport, je vois deux de vos semblables qui ont agressé physiquement et directement, 3 de nos hommes, en les menaçant avec une arbalète, comment est ce que vous l'expliquez ? il était claire pour Roslin maintenant, ils étaient primitifs proche de l'attardement.
L'assemblé qui se tenait autour du vieil homme était passif, sauf une, une certaine Gysha qui prit la parole sur un ton coléreux.
- Laura ... elle n'eut le temps de finir sa phrase coupé par l'élancement de Laura. C'est Madame, ou Roslin à vous de choisir je vous pris. Même pour les plus primitifs, les distinctions est une forme de respect que tout le monde devrait avoir en mémoire selon Laura.
- Roslin, votre peuple nous limite à des rations de nourriture, durant des générations nous avons été autonome, par le geste que vous décrivez des uns des notre, nous vous présentons nos plus sincères excuses, mais nous avons été obligé d'agir, nous avions prévenu plusieurs fois votre chef sur le continent sans qu'il nous écoute. L'affaire commençait à devenir en peu plus délicate que se qu'aurait pu penser Laura.
Le vieil fou, prit par la colère fasse à l'incapacité de Laura à répondre au allégation portée, sans même lui laisser le temps d'y répondre, il sauta de tout son poids sur Laura, qu'il étouffa presque. Dans la foulé, elle perdit ses lunettes et hurla pour que le Sergent Eversman vienne la sauver de ce taré.
- Restez devant s'il vous plaît. Et elle entra dans la tente.
Et là... subjuguée par ce qu'elle voit, un vieux sage à moitié fou en train de marmonner tout seul, sûrement le leader qui remplacait Teyla, avec autour de lieu, un comité. Un jeune homme assez séduisant, l'invita à s'installer d'un signe de la main face à ce beau monde.
- Expliquez moi ce qu'il se passe ici, d'une voix agréable et soucieuse. Elle était bien obligée, elle ne pouvait se permettre de les agresser, ils étaient nos partenaires.
Le vieil homme arrêta de marmonner et prit la parole en lançant un regard si noir qu'elle en eut des frissons dans le dos.
- Vos amis, ils nous obligent à restreindre notre nourriture, à nous rationner, depuis des générations, nous chassons, nous pêchons sans que qui que ce soit ne nous disent comment faire pour que nous restions en vie. Elle sortit son petit dossier de sa mallette, un rapport était glisser entre deux pages vierges. Elle jeta un coup d'oeuil sur le rapport pour être sûr que ce qu'on lui avait dit était réels, car eux n'avaient pas prit conscience de la gravité de leurs actes
- Ecoutez... sur le rapport, je vois deux de vos semblables qui ont agressé physiquement et directement, 3 de nos hommes, en les menaçant avec une arbalète, comment est ce que vous l'expliquez ? il était claire pour Roslin maintenant, ils étaient primitifs proche de l'attardement.
L'assemblé qui se tenait autour du vieil homme était passif, sauf une, une certaine Gysha qui prit la parole sur un ton coléreux.
- Laura ... elle n'eut le temps de finir sa phrase coupé par l'élancement de Laura. C'est Madame, ou Roslin à vous de choisir je vous pris. Même pour les plus primitifs, les distinctions est une forme de respect que tout le monde devrait avoir en mémoire selon Laura.
- Roslin, votre peuple nous limite à des rations de nourriture, durant des générations nous avons été autonome, par le geste que vous décrivez des uns des notre, nous vous présentons nos plus sincères excuses, mais nous avons été obligé d'agir, nous avions prévenu plusieurs fois votre chef sur le continent sans qu'il nous écoute. L'affaire commençait à devenir en peu plus délicate que se qu'aurait pu penser Laura.
Le vieil fou, prit par la colère fasse à l'incapacité de Laura à répondre au allégation portée, sans même lui laisser le temps d'y répondre, il sauta de tout son poids sur Laura, qu'il étouffa presque. Dans la foulé, elle perdit ses lunettes et hurla pour que le Sergent Eversman vienne la sauver de ce taré.
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Il serait bien resté à discuter football autour de quelques gorgées de boisson ambrée mais Roslin ayant décidée de lui pourrir la journée jusqu’au bout, Eversman dut à regrets quitter ses collègues. Une distance de sécurité s’installa entre eux, quelques mètres étaient nécessaires pour qu’il n’ait pas envie d’apposer ses mains sur son cou. Si une personne avait envie de l’agresser, pas certain qu’il ne la laisse pas lui mettre quelques coups avant d’intervenir. Cela pourrait lui faire du bien à mémé de redescendre sur terre.
Parvenus devant la tente, le Sergent confirma la demande d’un signe de tête. Il n’avait pas envie de lui obéir mais préférait ne pas se retrouver dans la même pièce qu’elle. C’était presque un cadeau de lui éviter de respirer le même air. Pas besoin de prêter attention aux propos pour savoir que le ton montait assez rapidement dans l’infrastructure. A croire que Roslin avait une capacité spéciale pour énerver son entourage avec des points particuliers pour les militaires et les athosiens.
Son nom se fit entendre, hurlée par une voix criarde et le fit réagir. Le Ranger pénétra à l’intérieur de la tente analysa la scène l’espace d’un instant avant de prendre une décision. L’athosien le plus proche de sa cible et surtout le plus virulent fut attrapé par le col de sa veste en peau de bête et tiré fortement en arrière. L’homme bascula en arrière libérant ainsi sa prise. Un petit « cric » passa presque inaperçu.
Sans plus de ménagements, la main gauche d’Eversman se faufila sous l’aisselle de Roslin, l’agrippant pour la remettre sur pieds prestement. Les doigts restèrent accrochés au cas où il aurait besoin de la déplacer rapidement. Positionné entre les deux, Matt se devait de calmer la situation.
« Je sais que l’envie de lui coller un poing en pleine figure est très tentante et qu’elle l’a certainement méritée mais il va falloir résister à la tentation et prendre sur vous, les gars… »
La menace immédiate semblant se calmer, il entreprit de la déplacer et de l'amener à l'extérieur où elle se défit de son emprise.
Parvenus devant la tente, le Sergent confirma la demande d’un signe de tête. Il n’avait pas envie de lui obéir mais préférait ne pas se retrouver dans la même pièce qu’elle. C’était presque un cadeau de lui éviter de respirer le même air. Pas besoin de prêter attention aux propos pour savoir que le ton montait assez rapidement dans l’infrastructure. A croire que Roslin avait une capacité spéciale pour énerver son entourage avec des points particuliers pour les militaires et les athosiens.
Son nom se fit entendre, hurlée par une voix criarde et le fit réagir. Le Ranger pénétra à l’intérieur de la tente analysa la scène l’espace d’un instant avant de prendre une décision. L’athosien le plus proche de sa cible et surtout le plus virulent fut attrapé par le col de sa veste en peau de bête et tiré fortement en arrière. L’homme bascula en arrière libérant ainsi sa prise. Un petit « cric » passa presque inaperçu.
Sans plus de ménagements, la main gauche d’Eversman se faufila sous l’aisselle de Roslin, l’agrippant pour la remettre sur pieds prestement. Les doigts restèrent accrochés au cas où il aurait besoin de la déplacer rapidement. Positionné entre les deux, Matt se devait de calmer la situation.
« Je sais que l’envie de lui coller un poing en pleine figure est très tentante et qu’elle l’a certainement méritée mais il va falloir résister à la tentation et prendre sur vous, les gars… »
La menace immédiate semblant se calmer, il entreprit de la déplacer et de l'amener à l'extérieur où elle se défit de son emprise.
Le sergent eut l'amabilité de venir la libérer de ce vieux fou, en l'attrapant par le coup pour pouvoir libérer Laura atteinte par l'étouffement. Eversman l'avait attrapé pour pouvoir la remettre sur pied. Elle remettait sa chemise bien droite en la reboutonnant pour avoir la décence irréprochable face à cette situation. En tentant de reprendre ses esprit, le sergent avait lâché une phrase, qui, en situation normal aurait faire bouillir Laura, mais vue ces conditions, ça n'était pas le moment de la ramener.
Je sais que l’envie de lui coller un poing en pleine figure est très tentante et qu’elle l’a certainement méritée mais il va falloir résister à la tentation et prendre sur vous, les gars…
Elle sortit de la tente avec Eversman, il se tenait à côté d'elle. Laura détestait la position qu'elle avait, une faible, pourtant, elle n'avait rien fait pour se retrouver la dedans. Il fallait que des incompétents soient envoyés sur le continent pour énerver la populace qui y loge. Elle regarda le Sergent en le remerciant sèchement, avec un très léger sourire pour pouvoir détendre l'atmosphère qui régnait entre ces deux là.
Elle prit place sur un bout bois situé à quelque mètre de la tente. L'agent n'était pas très loin, quand elle aperçut la dénommée Gysha sortir de la tente, et se diriger vers elle, celle qui plaidoyer dans la tente pour la cause des Athosiens. Quand elle s'approcha vers l'ambassadrice, le Segent Eversman s'approcha de Laura pour garantir sa sécurité, après ce spectacle qui ne manquera sûrement pas de raconter à tout ses collègues, il préféra éviter tout autre conflit. Il était à la porté d'écoute pour éviter d'agir après que cela ne dégénère à nouveau. Laura se leva par respect, les mains enlacée l'une dans l'autre devant elle, en envoyant le message qu'elle était à l'écoute.
Je suis désolé Laura Roslin pour ce qu'il vient de se passer, mon père se fait vieux, et son comportement n'avait pas lieu d'être.
Je suis d'accord avec vous, son comportement était incongru, je suis mandatée par notre chef d'expédition pour trouver des solutions, non pas pour me battre. Je suis diplomate, pas une boxeuse. C'est là qu'elle se disait que prendre des cours avec Ronon lui serait finalement utile face à ce genre de problématique, ça égaliserait tout le monde.
Ecoutez, comme je vous l'ai dit, notre situation se ... Laura avec le don de couper les phrases à cette pauvre jeune femme. Attentive et positionnée dans l'empathie pour cette femme, qui malgré ses apparences, se trouvait sous la coupole de la direction d'Atlantis.
Pardonnez moi, commençant cette phrase en arrêtant la sienne, je vois ce qu'il se passe, et je comprend cette situation, votre campement et toute votre population est sous la protection de notre cité, vous devez comprendre que chaque jour, nos hommes et femmes traversent la porte des étoiles pour pouvoir tisser des liens diplomatique, des échanges commerciaux. Il y'a quelques mois de cela, nous avons reçu la délégation de notre planète, en apportant un nouveau vaisseau de guerre assigné à la galaxie de Pégase, nous faisons ce que nous pouvons pour pouvoir agir en conséquence et trouver des vivres pour les occupants de la cité, et ainsi, les occupants du continent, ce qui veut dire, vous, les Athosiens. Elle marqua cette phrase par un long soupir, et prit la main de cette femme pour la mettre en les siennes, la regardant droit dans les yeux
Ces conditions de vie pour vous, elles s'appliquent aussi pour nous, votre autonomie est un réel bonus pour notre situation, mais nous devons nous rationner tous autant que nous sommes. Faîte moi confiance, cette situation sera vite régler, laissez nous encore 3 mois grand maximum, et vous serez en possession d'une autonomie totale sans aucune pression.
Laura vit le relâchement de cette jeune fille, un soulagement presque. Bien évidemment, Laura ne pouvait pas en rester là sans agir en conséquence, elle se fit agresser pour cause d'un insensible militaire qui n'était pas foutu de remonter l'information à la base.
Pour ce qui est du chef qui est présent sur le continent, rassurer vous, il ne le restera plus très longtemps, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir, pour le muter ailleurs dans la cité.
Cette discussion prit fin par une poignée de main et un sourire pour les deux partis, je reviendrai pour vous tenir informer de la situation, promis. Cette mission enfin finit, elle en avait presque oubliée la présence du Sergent qui se tenait à côté. Elle n'en revenait pas, elle était prise d'empathie pour ces gens qu'elle appelait les sauvageons il y'a moins d'une heure. Bien, Sergent, vous êtes prêt à rentrer à la maison ? Avec un sourire jusqu'aux oreilles en ce qui concerne Laura. Malgré sa mésaventure, il n'était pas tous aussi ... impertinent que ça. Elle avait hâte de retrouver ses quartiers pour pouvoir se remettre de tout ça
Je sais que l’envie de lui coller un poing en pleine figure est très tentante et qu’elle l’a certainement méritée mais il va falloir résister à la tentation et prendre sur vous, les gars…
Elle sortit de la tente avec Eversman, il se tenait à côté d'elle. Laura détestait la position qu'elle avait, une faible, pourtant, elle n'avait rien fait pour se retrouver la dedans. Il fallait que des incompétents soient envoyés sur le continent pour énerver la populace qui y loge. Elle regarda le Sergent en le remerciant sèchement, avec un très léger sourire pour pouvoir détendre l'atmosphère qui régnait entre ces deux là.
Elle prit place sur un bout bois situé à quelque mètre de la tente. L'agent n'était pas très loin, quand elle aperçut la dénommée Gysha sortir de la tente, et se diriger vers elle, celle qui plaidoyer dans la tente pour la cause des Athosiens. Quand elle s'approcha vers l'ambassadrice, le Segent Eversman s'approcha de Laura pour garantir sa sécurité, après ce spectacle qui ne manquera sûrement pas de raconter à tout ses collègues, il préféra éviter tout autre conflit. Il était à la porté d'écoute pour éviter d'agir après que cela ne dégénère à nouveau. Laura se leva par respect, les mains enlacée l'une dans l'autre devant elle, en envoyant le message qu'elle était à l'écoute.
Je suis désolé Laura Roslin pour ce qu'il vient de se passer, mon père se fait vieux, et son comportement n'avait pas lieu d'être.
Je suis d'accord avec vous, son comportement était incongru, je suis mandatée par notre chef d'expédition pour trouver des solutions, non pas pour me battre. Je suis diplomate, pas une boxeuse. C'est là qu'elle se disait que prendre des cours avec Ronon lui serait finalement utile face à ce genre de problématique, ça égaliserait tout le monde.
Ecoutez, comme je vous l'ai dit, notre situation se ... Laura avec le don de couper les phrases à cette pauvre jeune femme. Attentive et positionnée dans l'empathie pour cette femme, qui malgré ses apparences, se trouvait sous la coupole de la direction d'Atlantis.
Pardonnez moi, commençant cette phrase en arrêtant la sienne, je vois ce qu'il se passe, et je comprend cette situation, votre campement et toute votre population est sous la protection de notre cité, vous devez comprendre que chaque jour, nos hommes et femmes traversent la porte des étoiles pour pouvoir tisser des liens diplomatique, des échanges commerciaux. Il y'a quelques mois de cela, nous avons reçu la délégation de notre planète, en apportant un nouveau vaisseau de guerre assigné à la galaxie de Pégase, nous faisons ce que nous pouvons pour pouvoir agir en conséquence et trouver des vivres pour les occupants de la cité, et ainsi, les occupants du continent, ce qui veut dire, vous, les Athosiens. Elle marqua cette phrase par un long soupir, et prit la main de cette femme pour la mettre en les siennes, la regardant droit dans les yeux
Ces conditions de vie pour vous, elles s'appliquent aussi pour nous, votre autonomie est un réel bonus pour notre situation, mais nous devons nous rationner tous autant que nous sommes. Faîte moi confiance, cette situation sera vite régler, laissez nous encore 3 mois grand maximum, et vous serez en possession d'une autonomie totale sans aucune pression.
Laura vit le relâchement de cette jeune fille, un soulagement presque. Bien évidemment, Laura ne pouvait pas en rester là sans agir en conséquence, elle se fit agresser pour cause d'un insensible militaire qui n'était pas foutu de remonter l'information à la base.
Pour ce qui est du chef qui est présent sur le continent, rassurer vous, il ne le restera plus très longtemps, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir, pour le muter ailleurs dans la cité.
Cette discussion prit fin par une poignée de main et un sourire pour les deux partis, je reviendrai pour vous tenir informer de la situation, promis. Cette mission enfin finit, elle en avait presque oubliée la présence du Sergent qui se tenait à côté. Elle n'en revenait pas, elle était prise d'empathie pour ces gens qu'elle appelait les sauvageons il y'a moins d'une heure. Bien, Sergent, vous êtes prêt à rentrer à la maison ? Avec un sourire jusqu'aux oreilles en ce qui concerne Laura. Malgré sa mésaventure, il n'était pas tous aussi ... impertinent que ça. Elle avait hâte de retrouver ses quartiers pour pouvoir se remettre de tout ça
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√ Date de naissance : 22/01/1990
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Eversman prenait un malin plaisir à observer la diplomate tentait de retrouver une tenue descente. C’était le risque en se foutant ouvertement de la gueule des gens, on en payait souvent le prix un moment ou à un autre. Un sourire malicieux était apparu sur ses lèvres, satisfait qu’un des « sauvageons » la remette à sa place. Il fallait maintenant espérer que cela la ramène un peu sur Terre mais il doutait fortement de la leçon sur le long terme.
Des mouvements sur sa droite l’interpellèrent. Même s’il ne l’appréciait pas, Eversman se devait de la protéger si d’autres tentaient de l’agresser physiquement. Il fut par conséquent des plus méfiants de la nouvelle approche de l’un d’eux se plaçant à distance raisonnable. Suivre la discussion ne l’intéressait pas, il ne contenta de filtrer le ton de la conversation. Ainsi un changement de ton l’alerterait de la possibilité d’un geste agressif imminent mais il n’y eut rien de cela. Une poignée de mains et un sourire faux sur les lèvres de Roslin conclurent l’entrevue.
La menace éloignée, il en restait une à proximité qu’il gardait attentivement à l’œil. IL n’aimait pas ce sourire difforme et se contenta d’un signe de tête affirmatif. Il n’avait rien à lui dire à cette femme et sans attendre son reste, l’homme se mit en route en direction du vaisseau. A l’intérieur il s’installa sur le siège passager et ne lui adressa pas la parole.
Des mouvements sur sa droite l’interpellèrent. Même s’il ne l’appréciait pas, Eversman se devait de la protéger si d’autres tentaient de l’agresser physiquement. Il fut par conséquent des plus méfiants de la nouvelle approche de l’un d’eux se plaçant à distance raisonnable. Suivre la discussion ne l’intéressait pas, il ne contenta de filtrer le ton de la conversation. Ainsi un changement de ton l’alerterait de la possibilité d’un geste agressif imminent mais il n’y eut rien de cela. Une poignée de mains et un sourire faux sur les lèvres de Roslin conclurent l’entrevue.
La menace éloignée, il en restait une à proximité qu’il gardait attentivement à l’œil. IL n’aimait pas ce sourire difforme et se contenta d’un signe de tête affirmatif. Il n’avait rien à lui dire à cette femme et sans attendre son reste, l’homme se mit en route en direction du vaisseau. A l’intérieur il s’installa sur le siège passager et ne lui adressa pas la parole.
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