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Who Dares Wins [PV : William Winke & Patrick Bateman]

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Dim 18 Aoû - 0:17

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J'ajoute dix millilitres de soude dans le ballon qui contenait une solution. Je la préparai depuis plusieurs heures déjà. Lorsque le mélange se mit à frémir, je retirai le ballon du bec bunsen et le posai sur un cercle en caoutchouc pour que le tout refroidisse. Pendant se temps, je notais sur une feuille blanche au crayon de bois, le contre rendu de la manipulation. Quelques minutes plus tard, je sortis d'un tiroir deux seringues et deux aiguilles. Dans chacune, j'absorbai quatre millilitres de la solution incolore. Puis je mis les seringues dans la poche de ma blouse.

Je quittai ma table, pour me diriger vers le fond de la pièce. Au fond de celle ci de trouvait une dizaines de cage. Dans cinq d'entre elle se trouvait une souris blanche et dans l'autre moitié des ras gris. Je me dirigeai vers une cage où il était inscrit :


''SUJET N°3
Maladie de catégorie 4 stade 2
Dangerosité : 4
Contagion 7
Provenance : P5R-473''


J'ouvris la cage et j'attrapai la souris d'une main. De l'autre je récupérai une des seringue quand ma poche. Je fis l’injection à la petite boule de poile et je refermai la cage. Je retirais ma paire de gens en latex que je jetais dans une poubelle jaune. Je pris la feuille de contre rendu et je notai :

« Première injection – samedi 17 août 2013 - 15h47 - aucune réaction à l'injection»

Je mis une autre paire de gant et je fis la même chose pour le sujet n°4, un rat.  Une fois son contre rendu fait je jetai mes gants et en mis des nouveau. Tout simplement car cette maladie était assez contagieuse et qu'il valait mieux éviter de propager des spores. Je mis un échantillon dans un tube à essais que je bouchai et que je mis dans un des nombreux frigos de la pièce. Je fis le nettoyage puis j'enlevais le masque et les lunettes que je portai.

Lorsque je m'assis sur le tabouret pour prendre quelques notes, j'entendis mon ventre gargouiller. Je me rendis compte que j'avais louper le repas du midi à cause du travail. J'allais devoir attendre la fin de la journée pour manger car je n'avais rien emmené. J'étais en train d'écrire une modification sur une molécule lorsque j'entendis des bavardage derrière la porte de la pièce. Cela m’énervai, sûrement le manque de glucide dans le sang qui intensifiait mon énervement. Je me levai et je partis ouvrir la porte brusquement. Sans prendre le temps de regarder de qui il s'agissait, je brayai :

- Vous pouvez pas la fermer ! Y en a qui bosse !

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Dim 18 Aoû - 1:21

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Le sentiment de solitude ne peut se ressentir que quand on est seul. Or là je ne l’étais pas. La faute a un troufion qui c’était pointé a ma table et qui voulait entamer la conversation. J’aurai bien voulu quitter la table discrètement grâce a tout mon talent mais se con était en train de parler trop fort et d’attirer doucement l’attention sur nous. Ses mains volaient et dessinaient des formes, décrivaient des scènes, des positions de tirs. Il finit par m’en coller une directement dans ma fourchette, la faisant voler et emportant le reste de mon repas. Il fit immédiatement silence et posa ses mains sur la table. Mon couteau vola et se planta entre ses doigts. Le regard sombre et froid, je commençais à faire pencher le couteau vers ses doigts. Tout le monde du croire que j’allais les lui couper. J’aurai peut être du le faire. Mais le couteau s’arrêta et finit par rejoindre son fourreau. Prenant un petit sac en papier, j’y mis ma bouteille d’eau, mon dessert et quittais la pièce. Ce départ un peu théâtral m’attira les remarques de certains, notamment d’un caporal. De se que j’avais appris, il s’appelait Bateman, ou un truc du genre, et était un ricain. Je lui jetai un regard et sortit.

Le couloir m’offrait plus de tranquillité. Personne ne cherchais à m’adresser la parole et je marchais un peu ici et là. Je croisais plusieurs officiers qui allait au briefing et finit par arriver dans la salle d’embarquement. Je les regardais partir. Cela durant quelques minutes avant qu’un autre homme s’arrête a coté de moi. Je vis vite fait que c’était le caporal de tout à l’heure. Je lui fis signe rapidement en guise de salut. Nous commençâmes a discuter de choses et d’autres. J’appris ainsi qu’il était des Delta Forces et qu’il se croyait le meilleur. Nous enchainions sur un petit début de soldat pour savoir de qui, des SAS ou des Delta, étaient les meilleurs. Je continuais de marcher, le caporal a coté de moi. Nous arrivâmes, sans trop savoir pourquoi, devant un laboratoire. Nous discutions toujours quand la scientifique sortit et nous cria de la fermer. Clair et nette. Et cette voix me rappelait quelqu’un. Nous discutions à voix basse. Un défi fut lancé : prendre discrètement un objet et ressortir sans se faire prendre. Et comme un con, j’acceptai le défi. Je rentrais dans le labo et lançais doucement :

Bonjour Doc’, c'est William Winkle. Vous allez bien ?

J’avançais pas trop, les labos c’était pas mon environnement et en plus elle avait l’air de faire des expériences dangereuses. J’avais noté plutôt qu’elle n’était pas venu a la cantine manger. J’utilisais donc mon petit sac comme diversion pendant que je pris un petit objet dont la disparition passé inaperçu.

-J’ai constaté que vous n’êtes pas venue manger, j’ai donc pensé que... enfin que cela vous ferez plaisir d’avoir… d’avoir quelque chose à manger. Enfin voila je vous laisse, bonne journée doc’.

Je posais le sac sur un coin de la table et hop, l’objet était dans ma poche. Je bâtis en retraite vers la porte et la passais doucement. De l’autre coté de celle-ci, je levais l’objet devant moi, le montrant clairement au soldat et lui affirmant que les SAS étaient les meilleurs.

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Dim 18 Aoû - 15:41

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Dim 18 Aoû - 18:02

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Je ne fis pas trop attention à qui se trouvait derrière la porte et je la refermai juste après avoir parlée. Je remis en marche le bec bunsen et je mis de l'eau à chauffer pour quelle atteigne une température de 37 °C. J'entendis la porte s'ouvrir et je m'attendais à entendre la voix du Dr Zeper mais au lieu de ça j'entendis une toute autre voix.

-Bonjour Doc’, c'est William Winkle. Vous allez bien ?

Je me tournai dans sa direction. Que voulait il ? C'était lui qui parlait derrière la porte, je reconnu la voix. Cela ne changea pas ma mauvaise humeur. Après avoir mis une nouvelle paire de gants, je pris deux seringues avec une toute petite aiguille et un scalpel stérile. Je lui dis simplement sans lui prêter trop d'attention. J'étais trop occupée dans se que j'étais en train de faire.

- Que voulez vous ?

-J’ai constaté que vous n’êtes pas venue manger, j’ai donc pensé que... enfin que cela vous ferez plaisir d’avoir… d’avoir quelque chose à manger. Enfin voila je vous laisse, bonne journée doc’.

Avant que je ne puisse le remercier pour son attention, il avait déjà quitté le laboratoire. Étrange mais j'avais a faire donc je n'y prêtai pas grande importance. J'irais voir se qu'il m'avait amené tout à l'heure.
Je remis mon masque et je retournai au niveau des animaux. Je retournai au sujet 2 et j'ouvris sa cage. Elle était assez grande pour lui et la porte aussi pour me permettre de faire les manipulation sans les sortir. Je pris le petite animal dans une main et je l'observait pou voir si il avait un changement de comportement depuis son injection.


- Hur är Jack dig? (Comment allez vous Jack?)

Tout semblait normal. Je pris le scalpel et je fis une incision de la veine caudale. Je récoltais 0,05 ml de sang. Pour le sujet n°4 je trempai la queue du ras dans l'eau chaude pendant une minute afin de provoquer une vasodilatation. Puis je fis la prise de sang dans la queue sans incision. J'en prélevai 0,1 ml.

Je retournai à la table avec mes deux échantillons de sang. Je pris une goutte du sang du sujet 3 que je déposais sur une lame de microscope. Il me restait à ajouter une solution mais impossible de trouver le flacon. J'entendis de nouveau des voix derrière la porte. Je mis rendis d'un pas énervé en ouvrant la porte brusquement. Je découvris deux hommes, deux militaires. Les mêmes que tout à l'heure. J'allais parler lorsque j'aperçus une seringue dans la main de William et le flacon que je cherchai dans les main de l'autre homme.

- Entrez tout de suite!

Je venais de dire ça froidement et sévèrement en montrent l'intérieur du laboratoire de mon doigt. Lorsque les deux hommes furent rentrés, je refermai la porte. Je pris des mains violement se qu'il venait de prendre et je partie chercher deux blouses, deux paires de gants, deux paires de surchaussures et deux masques que je donnai aux militaires.

- Suivez moi!

Je les conduisis aux font du laboratoire où se trouvait les rongeurs. Je pris le sujet n°10, une souris, par la queue et je la mis devant le nez de Winkle vu que je ne connaissais pas l'autre.

- Vous voyez cette souris, elle s'appelle Franck, un simple excrément en contact avec votre peau et vous mourez dans les 24 heures qui suivent en vous vidant de partout.

Je n'étais pas aimable, j'étais froide parce que je voulais leur faire comprendre se qu'il se passe dans cette pièce. Je leur fis signe de me suivre, et je les conduisis vers une porte. Je l'ouvris en les invitant à entrer. A l'intérieur, il y avait une douche. Plus spécialement une pièce atlantes où un douche avez été aménagé en cas de contamination.

- Très bien, vous devez vous doucher. Vous vous êtes peut être contaminé et je ne peux prendre aucun risque! Mettez vos vêtements dans les sacs jaunes que vous trouverez au font de la pièce. Lavez vous avec le désinfectant complètement. Vous vous essuierez avec les serviettes en papier. Et je vais devoir rester pour vérifier que le protocole soit bien exécuté. Je dois aussi filmer.

Je sortis un caméscope d'un petit placard et je le posais sur une table. Je me mis ensuite les bras croisé, un regard sévère devant la porte en attendant qu'il s'exécutent. Lorsqu'ils eurent retirés le haut, qui m'offrit un magnifique spectacle je leur dis en rigolant.

- Nej, men jag ungen du. Du klär. (Non, mais je vous fais marcher. Rhabillez vous.)

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Dim 18 Aoû - 19:15

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Nous étions dans la douche, torse nu, devant elle et la caméra. Cela me paraissait bizarre mais avec les scientifiques, il fallait s’attendre a tout. Et, après la mission d’escorte avec elle, plus rien ne m’étonnais. Mon torse et mes bras arborèrent des cicatrices, marques profondes du fouet irakien et d’autres au fer rouge. Tout cela ce croisait dans tout les sens. Devant. Derrière. De haut en bas. De gauche à droite. Et dans les autres sens. Je profitais d’être torse nu pour faire quelques mouvements  et continuai mon discours pour l’autre soldat.

-Tu l’as fait discrètement. Et tu  l’as bien fait je te l’accorde. Mais le défi consistait à prendre un objet quelconque sans avoir imposé la manière. Donc, théoriquement, je l’ai réussi, même si je n’est pas employer mes capacités de discrétion. Et il y a certains cas ou la ruse est plus utile que la discrétion. Donc je maintiens que les SAS sont meilleurs que les Delta.

Entendant la scientifique rire, je me retournais. Elle était en train de bien rigoler. J’arrêtais de me déshabillé et fit un signe au caporal d’en faire autant. Un truc n’allait pas. Je croisais les bras sur mon torse, ce qui eu pour effet de tordre certaines cicatrices dans tout les sens. Je fini par esquisser un sourire. J’avançais, arrêtais la caméra et la pris d’un geste habile et rapide. Je la passais au caporal avant que la scientifique ne puisse faire un geste. La regardant dans les yeux, je lui dis :

-C’est pas bien de se moquer de nous et d’en profiter pour avoir un bon moment. Mais je ne peux vous en vouloir. Tout le monde fait ce qu’il peut pour se distraire. Et pour le repas, vous pouvez le garder car, même sans ce défi idiot entre forces spécial, je vous l’aurai amené.

Je me redressais et lançais au caporal un regard en attendant de voir ce qu’il allait faire de la caméra. J’ajoutai tout haut, d’un ton froid et distant, à la destination de la scientifique :

-Et c’est un morceau de shrapnel Afghan qui m’a emporté les doigts doc, pas la torture irakienne.

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Dim 18 Aoû - 21:44

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Dim 18 Aoû - 23:38

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Ce ne fut pas de voir toutes les cicatrices qui me firent perdre le sourire mais le discours de Winkle. Le pauvre avait du vivre des choses affreuses. J'eus de la peine et de la compassion pour lui. Mais l'histoire de ses doigts me fit froid dans le dos. Puis son ton n'arrangea pas les choses. Vraiment ce soldat était bizarre. Un coup il était aimable et la fois d'après je me trouvai face à un mur. Serte j'avais peut être été loin, mais qu'il assume les conséquences de venir me déranger.

- Désolé pour se qui vous est arrivé Winkle.

Mon attention se porta sur l'autre militaire, un grand brun, qui me félicita pour ma vengeance. Je lui souris et lui tendis la main pour me présenter :

- Filippa Åkerfeldt.

Puis je récupérai les deux blouses qui avaient été mise dans le sac plastique jaune. Je donnais les vêtements qui resté dedans aux deux hommes, et je remis le sac à sa place. Je remis le caméscope dans le placard après avoir supprimé la vidéo et en sortant de la pièce je leur fis froidement :

- Rhabillez vous et déguerpissez d'ici.

Je regardai se qu'avait apporté William et je l'emmenai avec moi. Puis je retournai à mes préoccupations, c'est à dire observer le sang du sujet n°3. Lorsque Winkle sortie de la pièce suivit de Bateman, je le lui lançai le sac qu'il avait déposé sur une table avec son contenu à l’intérieur.

- Vous m'avez coupé l’appétit soldat avec votre histoire. Et pour moi, c'est le caporal qui a gagné votre duel.

Je fis un clin d’œil complice au militaire qui suivait William. Il aurait été  aimable, j’aurais sûrement penché en sa faveur et j'aurais été moins sèche avec lui.

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Lun 19 Aoû - 20:41

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J’avais le regard dans le vague. Les missions. J’en avais vu beaucoup passées et pas des meilleures. Secrètes ou non, elles étaient au fond toutes pareilles. Sinistres et inoubliables. Le bruit des tirs. L’odeur de la poudre et du sang. Les cris des hommes, des blessés, des mourants essayant de s’en sortir. Les images des scènes de cauchemars défilèrent devant mes yeux et repartirent tout aussi vite. Secouant un peu la tête, je repris mes esprits et lançais a la scientifique :

-Ce n’est pas de votre faute, Filippa. C’est moi qui suis venu vous voir. J’avais… espérer passer un moment sympathique avec vous mais j’ai croisé mon talentueux collègue ici présent. Oui je reconnais que vous avez gagné ce défi. Mais d’autres viendront et je pense que la compétition devra surement être suspendue un jour ou l’autre.

J’attrapais le sac qu’elle m’envoya. Je lui renvoyais un petit sourire qui disait « désolé pour tout ». J’allais sortir de la pièce lorsque j’entendis parler le caporal de « mission secrètes ». Je le regardais et l’entrainais dehors.

-Des missions, j’en est vu beaucoup. Et pas uniquement chez les SAS. Soldat du régiment d’infanterie royal qui fut envoyé sur le terrain. Vous avez vu l’Irak. L’Afghanistan c’était pire. Des grottes et des crevasses. Enfin je vais pas raconter mes souvenirs de combats. Sachez seulement que je n’ai eu aucune blessures ni aucun problème technique depuis que j’ai intégrer les SAS.

Je jetai un dernier regard au doc, et lui sourit en lui lançant :

-je repasserai un soir si vous le voulez bien, Filippa.

Je fermais la porte, fit un rapide salut au caporal et marchai tranquillement dans le couloir, un petit chant de guerre aux lèvres.

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Mar 20 Aoû - 18:45

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