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Divon profitait d'un instant rare de came, ces derniers mois avaient été particulièrement chargés pour lui, il avait du beaucoup avaler d'informations et accepter un certains nombre de choses. Il devrait désormais marcher avec la connaissance qu'il était le dernier pacifien, gardien des traditions, savoirs martiaux et désirs de revanche d'un peuple. Il avait d'abord été confus, tentant de chercher un ennemi proche pour rejeter sur lui sa colère, son aveuglement avait bien failli le faire entrer en conflit ouvert avec le capitaine Pedge, ce qui n'aurait pas bien fini pour lui. Depuis il avait bien évolué, il savait distinguer l'ennemi de l'allié et si toute cette histoire de génétique était encore nébuleuse pour lui, il comprenait que la part Wraith de certains n'en faisait pas des ennemis, cela le rendait toujours inconfortable ceci dit, comme si on permettait à l'ennemi de corrompre les rangs, car rien n'était bénéfique quand on voulait ressembler à l'adversaire. Il évitait de toute façon le personnel identifié comme tel afin de ne pas mettre à l'épreuve ses réactions, ce n'était pas comme si ils pullulaient sur la base de toute façon. Ses élèves étaient pour l'instant sa principale préoccupation et faire des soldats d'Atlantis des guerriers rompus au corps à corps passait par l'entraînement d'un certain nombre d'entre eux. Si tous n'aimaient pas la méthode du pacifien qui avait pour habitude de pousser ses élèves dans leurs retranchements, il était indéniable que ceux qui se prêtaient à l'exercice montraient de beaux résultats.
Pour l'heure, Divon profitait d'un instant de répit dans un lieu propice au calme, le jardin botanique et ses nombreuses plantes qui emplissaient l'air de senteurs agréables, il était assis en tailleur, les yeux clos, plongé dans une méditation fort reposante afin de profiter pleinement de son jour de congé hebdomadaire, un moment habituellement propice au repli pour soi et à l'introspection du moine guerrier. Cependant, si il n'avait aucun mal à se plonger dans ses pensées, il se sentait torturé par sa récente inaction. Il n'avait pas progressé d'un pouce quand aux Wraiths contre qui il avait juré vengeance et il stagnait sur cette cité et sa routine. Il se sentait pris au piège récemment, comme si quelque chose voulait le faire abandonner son objectif, il s'enlisait auprès des atlantes qui émoussaient son esprit guerrier dans la boue qu'était le train train quotidien de leurs opérations. Il cherchait à éclaircir la situation, à trouver une voie parmi les ténèbres afin de ne pas sombrer.
Ses respirations étaient régulières, sereines, son air serein malgré son trouble intérieur, des pas dans l'herbe éveillèrent ses sens à nouveau et il observa le nouvelle arrivante.
Lanaë.
Il avait eut l'occasion de la croiser dans quelques cours, elle travaillait principalement comme interprète de ce qu'il savait, mais il ne s'était pas vraiment intéressé à elle, elle portait parfois des peintures de visages assez stylisés que n'auraient pas reniés certains guerriers de son monde, elle manquait parfois de maîtrise dans ses coups mais elle avait un esprit des plus affûté et attentif, elle pourrait faire une combattante des plus correctes si elle se lançait dans cette voie corps et âmes.
-Bonjour, vous profitez des lieux?
Pour l'heure, Divon profitait d'un instant de répit dans un lieu propice au calme, le jardin botanique et ses nombreuses plantes qui emplissaient l'air de senteurs agréables, il était assis en tailleur, les yeux clos, plongé dans une méditation fort reposante afin de profiter pleinement de son jour de congé hebdomadaire, un moment habituellement propice au repli pour soi et à l'introspection du moine guerrier. Cependant, si il n'avait aucun mal à se plonger dans ses pensées, il se sentait torturé par sa récente inaction. Il n'avait pas progressé d'un pouce quand aux Wraiths contre qui il avait juré vengeance et il stagnait sur cette cité et sa routine. Il se sentait pris au piège récemment, comme si quelque chose voulait le faire abandonner son objectif, il s'enlisait auprès des atlantes qui émoussaient son esprit guerrier dans la boue qu'était le train train quotidien de leurs opérations. Il cherchait à éclaircir la situation, à trouver une voie parmi les ténèbres afin de ne pas sombrer.
Ses respirations étaient régulières, sereines, son air serein malgré son trouble intérieur, des pas dans l'herbe éveillèrent ses sens à nouveau et il observa le nouvelle arrivante.
Lanaë.
Il avait eut l'occasion de la croiser dans quelques cours, elle travaillait principalement comme interprète de ce qu'il savait, mais il ne s'était pas vraiment intéressé à elle, elle portait parfois des peintures de visages assez stylisés que n'auraient pas reniés certains guerriers de son monde, elle manquait parfois de maîtrise dans ses coups mais elle avait un esprit des plus affûté et attentif, elle pourrait faire une combattante des plus correctes si elle se lançait dans cette voie corps et âmes.
-Bonjour, vous profitez des lieux?
Lors de ses pauses, la jeune Athosienne passait son temps à découvrir les lieux. Il y avait tellement de zones, de niveaux, des bâtiments à en perdre la tête. Toute cette nouveauté lui donnait le tournis. Cette vie n’avait définitivement rien à voir avec celle qu’elle avait à Lantia et encore moins avec celle sur Athos. Mais aujourd’hui elle était là, à se perdre dans les couloirs d’Atlantis. Un rêve qui était devenu réalité ? Peut-être pas à ce point mais savoir qu’elle était importante pour ces terriens était déjà un grand pas en avant. Elle allait pouvoir les aider à comprendre ce monde auquel ils n’appartenaient pas. Et qui sait, peut être qu’en associant leurs forces, ils pourront enfin venir à bout des Wraiths ?
Suite à sa formation et sa rencontre avec Reginald ses pas la menèrent à travers les couloirs du niveau 7, la zone scientifique et technique. Puisqu’elle était là autant savoir ce que ce niveau abritait à part des bureaux. Il y avait un endroit pour les ingénieurs, des laboratoires et d’autres choses dont elle n’avait aucune idée de leur utilité. C’était quoi une salle des E2PZ ? Dans tous les cas elle ne fit pas sa curieuse, elle n’avait rien à faire à l’intérieur, ce n’était pas son boulot. Et ce n’était pas le moment de se faire remarquer parce qu’elle se baladait peut être dans des zones interdites à son rang.
Elle continuait donc de marcher, jusqu’à…un jardin ? Qu’elle idée de faire pousser des plantes à l’intérieur ? C’était un jardin botanique donc et cette fois-ci, elle y pénétra. L’odeur vint chatouiller ses naseaux et ça lui arracha un petit sourire. La vraie nature lui manquait. L’extérieur, le grand air. Elle s’arrêta un instant pour se déchausser afin de fouler l’herbe de ses pieds nus. C’était bien mieux ainsi. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi les terriens aimaient autant s’emmitoufler dans tous ses habits. D’accord ça les protégeait mais… h24…
Une voix l’interpelle. Son cerveau se lance à la recherche du prénom du jeune homme. Ils se sont déjà croisés. Devon. Elle le remet rapidement, il entraîne au corps à corps. Comme elle, il n’est pas d’ici et c’est pour ça qu’elle reste aussi détendu.
« Bonjour. Oui c’est ça. La nature me manque parfois. Et dire que je préfère les installations des terriens aux miennes serait mentir. »
Elle préférait de loin la simplicité de son peuple même si l’eau chaude courante c’était une belle invention tout comme les douches.
« Je vous dérange ? »
L’homme avait l’air empli d’un étrange calme et troubler la méditation de quelqu’un n’était jamais très agréable…
Suite à sa formation et sa rencontre avec Reginald ses pas la menèrent à travers les couloirs du niveau 7, la zone scientifique et technique. Puisqu’elle était là autant savoir ce que ce niveau abritait à part des bureaux. Il y avait un endroit pour les ingénieurs, des laboratoires et d’autres choses dont elle n’avait aucune idée de leur utilité. C’était quoi une salle des E2PZ ? Dans tous les cas elle ne fit pas sa curieuse, elle n’avait rien à faire à l’intérieur, ce n’était pas son boulot. Et ce n’était pas le moment de se faire remarquer parce qu’elle se baladait peut être dans des zones interdites à son rang.
Elle continuait donc de marcher, jusqu’à…un jardin ? Qu’elle idée de faire pousser des plantes à l’intérieur ? C’était un jardin botanique donc et cette fois-ci, elle y pénétra. L’odeur vint chatouiller ses naseaux et ça lui arracha un petit sourire. La vraie nature lui manquait. L’extérieur, le grand air. Elle s’arrêta un instant pour se déchausser afin de fouler l’herbe de ses pieds nus. C’était bien mieux ainsi. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi les terriens aimaient autant s’emmitoufler dans tous ses habits. D’accord ça les protégeait mais… h24…
Une voix l’interpelle. Son cerveau se lance à la recherche du prénom du jeune homme. Ils se sont déjà croisés. Devon. Elle le remet rapidement, il entraîne au corps à corps. Comme elle, il n’est pas d’ici et c’est pour ça qu’elle reste aussi détendu.
« Bonjour. Oui c’est ça. La nature me manque parfois. Et dire que je préfère les installations des terriens aux miennes serait mentir. »
Elle préférait de loin la simplicité de son peuple même si l’eau chaude courante c’était une belle invention tout comme les douches.
« Je vous dérange ? »
L’homme avait l’air empli d’un étrange calme et troubler la méditation de quelqu’un n’était jamais très agréable…
Il était vrai que les athosiens vivaient près de la nature, tout comme les pacifiens. Si les temples de son monde offraient des lieux défiant l'imagination comme sur la cité, la nature faisait partie intégrante de la vie de son peuple qui se servaient des nombreuses plantes médicinales pour soigner les guerriers après l'entraînement. Si le corps de Divon était aussi solide, c'était aussi grâce aux puissantes ressources qui étaient contenus dans les repas issus de la terre nourricière qui l'avait vu naître. Il éprouvait un grand respect pour ses différentes composantes et estimait faire partie de cette dernière conformément à ses croyances, les athosiens avaient un lien très particulier qui comportait évidement de nombreuses divergences, l'amour des athosiens étant bien plus issu du savoir selon lui, si ils n'en font pas un usage intensif, ils font bien plus exploitation de cette dernière que les pacifiens qui sont plus des cueilleurs que des agriculteurs, un travail épuisant réservé aux plantes les plus délicates, car les pacifiens exaltent la vie par dessus tout, des principes que Divon as bien peu eut l'occasion d'appliquer, sans doute une des nombreuses sources de son mal-être. Il se sentait déconnecté.
Mais cela ne concernait pas son élève qui pensait le déranger, à vrai dire, vu le trouble qui l'habitait, un autre présence lui offrait une distraction bienvenue, il lui offrit donc un sourire pacifique pour la rassurer. Elle avait tout autant droit que lui de profiter de ce magnifique endroit après tout, les atlantes avaient un certain goût, inutile de e nier selon lui, il se leva pour aller saluer la jeune femme en personne, tendant sa main comme il l'avait appris.
-Bonjour. Il est difficile de trouver la paix ici-bas, mais vous n'y êtes pour rien je vous rassure.
Il se tourna un bref instant vers le coin qu'il avait installé, un peu d'encens obtenu auprès des athosiens, comme tout les produits exotiques sur la base, brûlait en délivrant un léger parfum fruité, à côté trônait sa statue de jade, le dragon majestueux et élancé tout en jade dernier souvenir emporté de son peuple semblait se jeter sur un ennemi invisible en dessous de lui, zébré d'éclairs. Le dragon céleste avait toujours inspiré le respect à Divon qui ne rêvait que d'une chose, être un de ses guerriers au delà de la mort, son corps nimbé de lumière insensible aux attaques comme les textes anciens le promettait au suivant de la voie. Certains avaient réussis, leur légende étaient racontées par des milliers de croyant, il était désormais le dernier.
-Cet endroit est magnifique, je ne vous en veux pas d'en profiter, si vous avez du temps à perdre, je peux vous apprendre la méditation, ça aide beaucoup avant et après les entraînements.
Il gardait son rôle de professeur bien sûr, mais sa présence était un souffle d'air frais dont il avait du mal à se passer et il n'était pas contre un peu de compagnie pour se sortir tout ça de la tête.
Mais cela ne concernait pas son élève qui pensait le déranger, à vrai dire, vu le trouble qui l'habitait, un autre présence lui offrait une distraction bienvenue, il lui offrit donc un sourire pacifique pour la rassurer. Elle avait tout autant droit que lui de profiter de ce magnifique endroit après tout, les atlantes avaient un certain goût, inutile de e nier selon lui, il se leva pour aller saluer la jeune femme en personne, tendant sa main comme il l'avait appris.
-Bonjour. Il est difficile de trouver la paix ici-bas, mais vous n'y êtes pour rien je vous rassure.
Il se tourna un bref instant vers le coin qu'il avait installé, un peu d'encens obtenu auprès des athosiens, comme tout les produits exotiques sur la base, brûlait en délivrant un léger parfum fruité, à côté trônait sa statue de jade, le dragon majestueux et élancé tout en jade dernier souvenir emporté de son peuple semblait se jeter sur un ennemi invisible en dessous de lui, zébré d'éclairs. Le dragon céleste avait toujours inspiré le respect à Divon qui ne rêvait que d'une chose, être un de ses guerriers au delà de la mort, son corps nimbé de lumière insensible aux attaques comme les textes anciens le promettait au suivant de la voie. Certains avaient réussis, leur légende étaient racontées par des milliers de croyant, il était désormais le dernier.
-Cet endroit est magnifique, je ne vous en veux pas d'en profiter, si vous avez du temps à perdre, je peux vous apprendre la méditation, ça aide beaucoup avant et après les entraînements.
Il gardait son rôle de professeur bien sûr, mais sa présence était un souffle d'air frais dont il avait du mal à se passer et il n'était pas contre un peu de compagnie pour se sortir tout ça de la tête.
Ils n’étaient pas si différents lui et elle. Tous les deux étrangers à la Terre et amis de la nature. Ce n’était donc pas un hasard s’ils se retrouvaient en ces lieux. Un sourire du blond lui montra qu’elle était la bienvenue et, d’une main délicate, elle vint effleurer une feuille. Mais Divon voulait bien faire les choses et il se leva pour venir lui serrer la main. Quelle étrange manière de dire bonjour… Tout comme se faire la bise. Une perte de temps ? Peut être pas. Mais rien ne valait une bonne accolade. Cependant elle lui prit tout de même la main et la serra comme il se devait avant de la secouer doucement. Oui, quelle étrange coutume…
« Je veux bien vous croire. »
Nouveau sourire. Malgré que l’endroit semblât paisible, on ne pouvait oublier le fait que le jardin soit dans des sous-sols : l’absence du ciel, l’odeur plus fermée et puis les murs. Et si parfois on ne les apercevait pas, le corps lui, le sentait. Surtout eux qui avaient été habitué au grand air depuis leur naissance. En parlant de parfum… il n’y avait pas que celui des plantes. Elle reconnut de l’encens et un balayage du regard plus tard, ses yeux s’arrêtèrent sur une jolie statue qui représentait un dragon. C’était vraiment beau.
« Oui, ça permet de couper un peu avec tout ce remue-ménage dans les bureaux… entre le bruit des machines et le brouhaha des employés… »
Elle rit à moitié en repensant à tout ça. Quelle idée de venir se fourrer ici… mais sa soif de connaissance était trop grande et labourer des champs ne l’aiderait pas à en découvrir plus sur leur monde. Ses iris vinrent alors caresser celles de Divon qui lui proposait d’apprendre la méditation. Pourquoi pas…
« Ce serait avec grand plaisir. »
Nouveau sourire et elle se rapprocha encore un peu tout en laissant une distance entre eux. Toujours laisser son espace vital à autrui.
« Ta statuette est magnifique. Elle vient de chez toi ? »
Par « chez toi » elle entendait bien évidemment sa planète. Si ses sources étaient correctes, Divon n’avait plus de chez lui. Les Wraiths ayant encore fait des leurs. Cette vermine était partout. Elle rêvait du jour où ils seraient vaincus.
« Je veux bien vous croire. »
Nouveau sourire. Malgré que l’endroit semblât paisible, on ne pouvait oublier le fait que le jardin soit dans des sous-sols : l’absence du ciel, l’odeur plus fermée et puis les murs. Et si parfois on ne les apercevait pas, le corps lui, le sentait. Surtout eux qui avaient été habitué au grand air depuis leur naissance. En parlant de parfum… il n’y avait pas que celui des plantes. Elle reconnut de l’encens et un balayage du regard plus tard, ses yeux s’arrêtèrent sur une jolie statue qui représentait un dragon. C’était vraiment beau.
« Oui, ça permet de couper un peu avec tout ce remue-ménage dans les bureaux… entre le bruit des machines et le brouhaha des employés… »
Elle rit à moitié en repensant à tout ça. Quelle idée de venir se fourrer ici… mais sa soif de connaissance était trop grande et labourer des champs ne l’aiderait pas à en découvrir plus sur leur monde. Ses iris vinrent alors caresser celles de Divon qui lui proposait d’apprendre la méditation. Pourquoi pas…
« Ce serait avec grand plaisir. »
Nouveau sourire et elle se rapprocha encore un peu tout en laissant une distance entre eux. Toujours laisser son espace vital à autrui.
« Ta statuette est magnifique. Elle vient de chez toi ? »
Par « chez toi » elle entendait bien évidemment sa planète. Si ses sources étaient correctes, Divon n’avait plus de chez lui. Les Wraiths ayant encore fait des leurs. Cette vermine était partout. Elle rêvait du jour où ils seraient vaincus.
Divon comprenait la jeune athosienne sur ce point, même si il s'y était un peu fait, il était encore un peu difficile en ce qui concernait tout ces joujoux technologiques utilisés par les atlantes, il n'avait jamais eut besoin de ça dans sa vie et si il appréciait certains aspects, l'oisiveté était un pêché auquel il ne souhaitait pas se frotter et son corps tout comme son esprit devaient rester libre de la nécessité de tels outils. Les athosiens étaient avant tout des marchands et des fermiers de ce qu'il en savait, ils devaient adorer se retrouver au contact d'un sol non métallique. Le moine avait relativement bonne presse auprès des athosiens en général, leurs cultures avaient au final quelques points communs et le fait d'être pégasien était souvent un avantage, et puis il se fournissait régulièrement en plantes pour ses thés auprès d'eux, ils avaient des connaissances des plantes médicinales époustouflante pour a plupart. Un petit rire de sa part vint donc ponctuer sa remarque sur le bruit général de la base, il était vrai que les atlantes étaient bruyants, mais cela faisait indéniablement partie de leur charme, il avait souvenir d'un docteur très entreprenant. Le chaste en riait parfois, ces gens étaient souvent déconcertant, mais ils étaient pour la plupart assez bien intentionnés, sans malice. Divon supporta avec calme le regard de Lanaë qui accepta sa proposition avant de s'installer, ce qu'il fit aussi, elle ne manqua pas de remarquer sa statuette.
-C'est tout ce que j'ai gardé du temple en partant. C'est Shou Lao, le dragon céleste.
Il ponctua sa phrase en joignant les points et en s'inclinant légèrement, avec respect.
-C'est notre dieu, il nous as offert la voie des arts martiaux et nous as promis de nous amener en croisade le temps venu.
Il termina cette fois-ci avec un petit rire et mit la main devant lui en signe d'apaisement.
-Je ne cherche pas à vous convertir je vous rassure, la méditation est avant tout une expérience personnelle. C'était juste... plus parlant.
La foi pacifienne était très stricte et complexe, il fallait être né dans cette culture pour comprendre pleinement en quoi une dévotion totale et aveugle à une voie pouvait mener à l'illumination personnelle. Comment l'abandon de toute forme de combat armé était vu comme le seul moyen d'atteindre une quelconque forme de pureté de l'âme, peu pouvaient ne serait-ce que l'accepter ou ne pas trouver cela stupide. Mais dans le choix d'une pure simplicité, le pacifien visait à devenir une arme plus redoutable que n'importe quel ennemi. Bien évidement, il avait découvert que des milliers d'années de théories se devaient d'être enrichies de pratique dont ses frères et soeurs avaient manqué, source probable de leur annihilation, mais lui avait survécu et ne cessait d'enrichir les pratiques de combat de ses ancêtres, qui sait, il pourrait peut-être recommencer tout ici, avec des nouveaux adeptes.
Enfin, ça c'était si qui que ce soit pouvait comprendre et adhérer à une telle philosophie.
-Il m'apaise beaucoup, il m'aide à me concentrer quand j'ai le mal du pays. C'est à dire souvent.
Difficile d'oublier son ancienne vie, le destin qu'il s'était cru fixé avant que les wraiths ne détruisent tout. Un fait si rare eux qui aimaient se garder des réserves. Le capitaine Allen n'était peut-être pas l'ennemi, mais ses connaissances les concernant l'avait beaucoup aidé et il en savait bien plus qu'auparavant. Il ne désespérait pas d'avoir sa vengeance à défaut de retrouver son peuple. Les wraith devaient chercher quelque chose sur Pacifia, il en était certain, les siens étaient morts en tentant de défendre l'héritage de Shou Lao. Les athosiens étaient un peu plus nomades, moins renfermés que les pacifiens qui n'avaient qu'entretenus des liens cordiaux et pois avec les autres peuples. Divon avait déjà croisé ce peuple chez lui, ils étaient venus de ce que les atlantes nommaient la porte des étoiles, ils avaient toujours appelé cette construction le passage entre les montagnes chez lui. L'idée même d'une galaxie de cette échelle était un fait mal connu de son peuple à la base, Pacifia n'étant pas vraiment située en plein cœur d'une quelconque activité ils en savaient peu en le moine peinait avec beaucoup de concepts de base comme les systèmes solaires, il n'avait ceci dit que peu d'égaux dans la reconnaissance par les étoiles, si elles étaient différentes de son monde et qu'il fallait s'éloigner de la cité pour bien les voir, il n'avait pas son pareil pour se faire sa propre carte, ça l'avait bien aidé lors de ses excursions précédentes.
-J'imagine que vos semblables sont capables d'un artisanat tout aussi fin, cette relique est une des plus importante de mon peuple, il est normal qu'un grand soin lui ait été apporté. Votre peuple sait y faire dans un grand nombre de domaine.
-C'est tout ce que j'ai gardé du temple en partant. C'est Shou Lao, le dragon céleste.
Il ponctua sa phrase en joignant les points et en s'inclinant légèrement, avec respect.
-C'est notre dieu, il nous as offert la voie des arts martiaux et nous as promis de nous amener en croisade le temps venu.
Il termina cette fois-ci avec un petit rire et mit la main devant lui en signe d'apaisement.
-Je ne cherche pas à vous convertir je vous rassure, la méditation est avant tout une expérience personnelle. C'était juste... plus parlant.
La foi pacifienne était très stricte et complexe, il fallait être né dans cette culture pour comprendre pleinement en quoi une dévotion totale et aveugle à une voie pouvait mener à l'illumination personnelle. Comment l'abandon de toute forme de combat armé était vu comme le seul moyen d'atteindre une quelconque forme de pureté de l'âme, peu pouvaient ne serait-ce que l'accepter ou ne pas trouver cela stupide. Mais dans le choix d'une pure simplicité, le pacifien visait à devenir une arme plus redoutable que n'importe quel ennemi. Bien évidement, il avait découvert que des milliers d'années de théories se devaient d'être enrichies de pratique dont ses frères et soeurs avaient manqué, source probable de leur annihilation, mais lui avait survécu et ne cessait d'enrichir les pratiques de combat de ses ancêtres, qui sait, il pourrait peut-être recommencer tout ici, avec des nouveaux adeptes.
Enfin, ça c'était si qui que ce soit pouvait comprendre et adhérer à une telle philosophie.
-Il m'apaise beaucoup, il m'aide à me concentrer quand j'ai le mal du pays. C'est à dire souvent.
Difficile d'oublier son ancienne vie, le destin qu'il s'était cru fixé avant que les wraiths ne détruisent tout. Un fait si rare eux qui aimaient se garder des réserves. Le capitaine Allen n'était peut-être pas l'ennemi, mais ses connaissances les concernant l'avait beaucoup aidé et il en savait bien plus qu'auparavant. Il ne désespérait pas d'avoir sa vengeance à défaut de retrouver son peuple. Les wraith devaient chercher quelque chose sur Pacifia, il en était certain, les siens étaient morts en tentant de défendre l'héritage de Shou Lao. Les athosiens étaient un peu plus nomades, moins renfermés que les pacifiens qui n'avaient qu'entretenus des liens cordiaux et pois avec les autres peuples. Divon avait déjà croisé ce peuple chez lui, ils étaient venus de ce que les atlantes nommaient la porte des étoiles, ils avaient toujours appelé cette construction le passage entre les montagnes chez lui. L'idée même d'une galaxie de cette échelle était un fait mal connu de son peuple à la base, Pacifia n'étant pas vraiment située en plein cœur d'une quelconque activité ils en savaient peu en le moine peinait avec beaucoup de concepts de base comme les systèmes solaires, il n'avait ceci dit que peu d'égaux dans la reconnaissance par les étoiles, si elles étaient différentes de son monde et qu'il fallait s'éloigner de la cité pour bien les voir, il n'avait pas son pareil pour se faire sa propre carte, ça l'avait bien aidé lors de ses excursions précédentes.
-J'imagine que vos semblables sont capables d'un artisanat tout aussi fin, cette relique est une des plus importante de mon peuple, il est normal qu'un grand soin lui ait été apporté. Votre peuple sait y faire dans un grand nombre de domaine.
Il répondit à sa question en s’inclinant devant ladite statuette qu’il venait de désigner comme étant « Shou Lao », un dragon céleste. Il lui expliqua que c’était son dieu et elle observa de plus belle l’objet. Quel dieu en effet ! Elle lui rendit son sourire, n’ayant pas une seule seconde songé au fait qu’il aurait pu vouloir la convertir.
« Je vous crois, il n’y a pas de mal. »
Elle lui sourit, lui montrant qu’elle n’a en rien était offensé. Au contraire. Tout ce qu’il peut lui raconter sur son peuple, elle le boit afin d’apprendre. Toutes ses précieuses infos viennent de se ranger dans sa tête. C’est important pour elle.
Elle lui sourit à nouveau en l’entendant parler du mal du pays. Cela revenait à son allusion sur les manières des terriens. S’adapter n’était pas une mince affaire. Les terriens aimaient tout faire sauf simplement. Tout était transformé, reformulé, adapté… Sa vie d’Athosienne était loin derrière elle. La vie dans le grand air à s’occuper de la terre et des animaux n’était plus qu’un doux songe. Et si c’était à refaire, c’est-à-dire partir de chez soi pour devenir linguiste dans l’expédition, elle l’aurait refait avec cette même conviction.
« Il est vrai que l’adaptation n’est pas chose aisée… Je vois très bien ce que vous pouvez ressentir. »
Et puis la conversation dériva sur son peuple et ses compétences. Chaque peuple avait son point fort et son point faible. Les Athosiens étaient doués dans le monde de l’agriculture et l’artisanat.
« Je peux ? »
Elle attendit son aval et prit la statuette entre ses mains pour l’observer sous toutes les coutures. Le travail était fin et élégant. C’était magnifique. Pas sûr sur les siens aient pu arriver à une chose aussi délicate.
« Nous sommes plus doué dans le travail de la terre. Chacun son domaine n’est-ce pas ? »
Encore un sourire. Elle se sentait bien, presque apaisée. Le calme du moine guerrier était contagieux et ça lui faisait grand bien. C’était comme si tout son temps passé assise derrière un bureau avait disparu. Plus de stress, plus rien, juste le calme et le bruissement des feuilles à cause de l’air climatisé pour retranscrire l’air requis afin de faire vivre toute cette flore en intérieur. Elle reposa ensuite la statuette et se redressa, prête à recevoir sa leçon du jour. Qui sait, peut être qu’apprendre la méditation l’aiderait à se canaliser pour mieux s’adapter à ce nouvel environnement auquel elle avait du mal à s’y faire ?
« Je vous crois, il n’y a pas de mal. »
Elle lui sourit, lui montrant qu’elle n’a en rien était offensé. Au contraire. Tout ce qu’il peut lui raconter sur son peuple, elle le boit afin d’apprendre. Toutes ses précieuses infos viennent de se ranger dans sa tête. C’est important pour elle.
Elle lui sourit à nouveau en l’entendant parler du mal du pays. Cela revenait à son allusion sur les manières des terriens. S’adapter n’était pas une mince affaire. Les terriens aimaient tout faire sauf simplement. Tout était transformé, reformulé, adapté… Sa vie d’Athosienne était loin derrière elle. La vie dans le grand air à s’occuper de la terre et des animaux n’était plus qu’un doux songe. Et si c’était à refaire, c’est-à-dire partir de chez soi pour devenir linguiste dans l’expédition, elle l’aurait refait avec cette même conviction.
« Il est vrai que l’adaptation n’est pas chose aisée… Je vois très bien ce que vous pouvez ressentir. »
Et puis la conversation dériva sur son peuple et ses compétences. Chaque peuple avait son point fort et son point faible. Les Athosiens étaient doués dans le monde de l’agriculture et l’artisanat.
« Je peux ? »
Elle attendit son aval et prit la statuette entre ses mains pour l’observer sous toutes les coutures. Le travail était fin et élégant. C’était magnifique. Pas sûr sur les siens aient pu arriver à une chose aussi délicate.
« Nous sommes plus doué dans le travail de la terre. Chacun son domaine n’est-ce pas ? »
Encore un sourire. Elle se sentait bien, presque apaisée. Le calme du moine guerrier était contagieux et ça lui faisait grand bien. C’était comme si tout son temps passé assise derrière un bureau avait disparu. Plus de stress, plus rien, juste le calme et le bruissement des feuilles à cause de l’air climatisé pour retranscrire l’air requis afin de faire vivre toute cette flore en intérieur. Elle reposa ensuite la statuette et se redressa, prête à recevoir sa leçon du jour. Qui sait, peut être qu’apprendre la méditation l’aiderait à se canaliser pour mieux s’adapter à ce nouvel environnement auquel elle avait du mal à s’y faire ?
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