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Une quête du passé parmi les vivants [ Lorn - Emilia Zeïn'Eidolas ]

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Lorn Fawkes
Archéologue
Langues Antiques
Bannière perso (image 901x180px) : Une quête du passé parmi les vivants [ Lorn - Emilia Zeïn'Eidolas ] 1562430542-image-profil
√ Arrivée le : 12/12/2018
√ Nationalité : Anglaise

√ Gène : Aucun
√ Messages : 69
Liste de vos DC : Hailey Spalding

Mar 18 Déc - 21:07

Lorn Fawkes
A peine arrivée sur Atlantis, Lorn Fawkes s’était lancé dans l’épluchage systématique des rapports de missions, en quête des mentions de probables ruines ou autres sujets dignes d’intérêt pour l’archéologue et linguiste qu’il était. Il y avait de quoi faire, pour plus d’une vie certainement. C’était le souci avec son métier : il y avait tellement de choses à voir, à découvrir. Une planète pouvait prendre des centaines d’années avant de révéler tous ses secrets, alors des galaxies entières ? Il aurait besoin de l’éternité au moins. Pour autant l’idée ne l’effrayait pas, au contraire cela le motivait d’avantage tout comme ces rapports trop succincts à son goût sur les dialectes, et la culture locale le motivaient à attraper le zigoto qui en était l’auteur pour lui apprendre à ne pas parler de l’important. Il n’en faisait rien parce que, malgré tout, il était conscient qu’il était l’un des seuls à s’exciter sur des détails de phonétiques ou des ossements… Il ne pouvait donc guère décemment protester pour ne pas avoir pondu une analyse de vingt pages sur le sujet. C’est au cours de l’une de ses lectures moyennement passionnantes qu’il découvrit l’existence des Gaëllie et plus particulièrement de cette princesse au nom pour le moins jolie à l’oreille : Emilia Zeïn’ Edolas. Le fait qu’elle disposerait du don de télékinésie était l’une des choses les plus étranges à son sujet mais si elle avait retenu son attention c’était bien parce que son peuple vénérait les Anciens, et ceux qui, de ce qu’ils comprenaient, avaient accomplis l’Ascension. Une discussion avec elle s’imposer. Mais elle n’était pas une simple paysanne qu’il pouvait faire venir à lui comme le seigneur choisissait la première gueuse dans les pires images que l’on pouvait avoir du Moyen Age sur Terre. C’était une princesse, qui parlait l’Ancien et dont le peuple considérait la langue comme une langue de prestige. Par chance, il l’a maîtrisé et pouvait donc se livrer à l’excentricité et bienséance que de lui adresser une lettre d’invitation manuscrite dans cette dernière. Il s’était donc mis en quête d’un beau papier à lettre, finissant par dégotter du papier vergé, pris son porte-plume et de l’encre de chine, car quitte à faire une lettre à l’ancienne, autant y aller jusqu’au bout, et il traça les caractères antiques avec précision, laissant libre court à sa penser.

Le résultat donnait ceci :

« A l’attention de sa seigneurie Emilia Zeïn’ Eidolas,

Mon nom est Lorn Fawkes, archéologue et linguiste de profession. Nous ne nous sommes jamais rencontré mais vous avez su noué des relations avec mes frères et sœurs d’Atlantis, en nous offrant notamment une chance de tisser des liens avec votre peuple.

Mes recherches se portant actuellement sur la civilisation des Anciens, que vous nommez, de ce que j’ai pu comprendre, les Sages, et à leur influence dans l’évolution de nos civilisations respectives, je me permets de solliciter une entrevue avec votre personne.

En retour, je pourrais vous apporter quelques réponses sur eux, ainsi que, si cela vous intéresse, sur l’histoire de notre monde natale, intimement liée à nos prédécesseurs !

Dans l’espoir que vous soyez d’accord, je vous laisse la décision du lieu de rencontre. Je puis aisément me rendre sur votre planète. Il est toutefois également envisageable que nous nous rencontrions sur Atlantis, que vous pourriez redécouvrir à loisir malgré les limitations à votre circulation due par d’évidentes raisons de sécurité.

Vous pourrez me faire parvenir votre réponse en contactant Atlantis.

En attendant de vous lire,

Veuillez croire en l’expression de mes salutations distinguées.

Lorn Fawkes »


Lorn lut et relut la lettre plusieurs fois, vérifiant l’absence de fautes, se demandant si c’était acceptable comme invitation mais ne voyez guère au final comment faire mieux. Il trouvait déjà bien plus élégant d’écrire sur du papier que d’envoyer un message audio ou, pire encore, envoyer directement un type porter le message, à l’oral donc. Naturellement, il aurait pu se déplacer lui-même mais l’idée de faire le voyage pour rien, et perdre de nombreuses heures qu’il pouvait mettre à profit à poursuivre ses recherches le chagrinait. La probabilité qu’elle accepte immédiatement de le recevoir était proche du zéro absolu. Il plia donc la lettre, soigneusement, pensant la sceller à la cire avant de se rappeler que, bien malheureusement, il n’en avait pas. Bien dommage ! Une bougie colorée pourrait faire l’affaire, pour le sceau il allait de ce pas trouver quelqu’un à embêter pour obtenir ce qu’il voulait. Il prit donc sa lettre et prit la direction de l’atelier, saluant les gens qui le croisait en passant puis alpagua un des petits ouvriers.

« Bien le bonjour ! Il me faudrait un sceau avec le symbole d’Atlantis dessus. C’est pour cacheter une lettre ! » . Il avait dit cela le plus naturellement du monde, comme si c’était une demande quotidienne. Mais l’homme le regarda d’un air surpris, croyant à une mauvaise plaisanterie. Sauf que Lorn restait planté devant lui, attendant avec le sourire qu’il se mette au travail.
« Vous vous foutez de moi ? » . La réponse fit perdre à Lorn son sourire mais pas son ton poli.

« Absolument pas ! C’est une demande tout à fait sérieuse afin de prendre langue avec une haute personnalité d’un autre monde ! » . Qui pouvait bien penser à une blague pour ça ? C’était impensable, illogique… N’est-ce pas ? C’est donc en grommelant après les excentricités des savants et des emmerdeurs dans le genre de l’anglais que l’ouvrier se mit au travail, jetant un regard peu amène à Lorn en voyant qu’il restait planté au beau milieu de la pièce. Une heure plus tard, il avait son sceau et partait piquer une bougie rouge dans les stocks, l’allumer avec un briquet sur une caisse puis laisser tomber la cire chaude sur le plie avant de mettre un bon gros coup de sceau dessus. Un petit ruban rouge ou vert n’aurait pas fait de mal non plus mais il n’y pensa qu’après. C’était un détail sans grande importance de toute façon. Il souffla la bougie, et sortit, oubliant totalement de la ranger ou, mieux, de l’embarquer. Le sceau, par contre, avait gagné sa poche et il gagna le pupitre de commande de la porte des étoiles, demandant à ce que l’on entre les coordonnées de la planète à partir de laquelle il pouvait trouver Emilia. Il avait tout de même, entre temps, pris le temps de demander la permission à l’administration. La seule fausse note dans son plan c’était qu’il n’avait pas de messager conciliant alors une fois la procédure d’ouverture lancée, il redescendit les marches, observant l’anneau s’activer puis le traversa pour se retrouver face aux soldats Gaëlliens auxquels il s’adressa un ancien.

« Mes salutations. Mon nom est Fawkes, venant d’Atlantis. J’ai un message à faire parvenir à son Altesse Emilia Zeïn’ Edolas. Auriez-vous l’aimable obligeance de le lui faire parvenir ? » . Une demande faite avec le sourire, ça ne se refuse pas, pas vrai ? Surtout quand un crétin à la longue chevelure, à l’air aimable et presque innocent, vous lance cela en arrivant de l’autre bout de la galaxie… Les soldats le regardèrent de travers, un peu surpris sans doute. Ils les prenaient pour des coursiers, ou plutôt de bons soldats obéissants qui ne sauraient faire autrement que faire parvenir l’invitation à la noble. L’un des soldats prit le message, laissant entendre que la réponse lui parviendrait d’ici quelques jours. Il les remercia donc puis franchit la porte dans l’autre sens, non sans avoir pris soin d’envoyer son code d’identification pour ne pas s’éclater sur le bouclier comme un moustique sur le parebrise. Bon, ça ne c’était pas si mal passer et il n’avait pas perdu tellement de temps. Plus qu’à prendre son mal en patience et se lancer dans l’étude de quelque chose.

Quelques jours plus tard, il apprit qu’il avait une réponse. Une lettre, manuscrite également. Comme quoi les vieilles manières élégantes existaient encore ! Il l’eut le texte, se disant que la langue des anciens ne permettait guère de juger de la personne, autrement que par le style employé, du fait de la nature des caractères. Mais ce qui comptait, ici, était qu’elle acceptait le déplacement. Il n’était pas surpris. Il était clair, pour ne pas dire évident, comme le nez au milieu de la figure, qu’elle ne refuserait pas une nouvelle visite dans ce lieu qui avait accueilli ses « dieux ». D’ailleurs, il devrait aborder sa perception de leur occupation de la ville, par curiosité. Certains peuples semblaient voir là une souillure mais il espérait qu’elle soit plus intelligente que cela. Après tout, sans les terriens, la cité ne serait plus qu’une ruine sous les eaux… D’ailleurs il devrait faire attention à ne pas trop en dire non plus. Fichu responsable de la sécurité ! Il avait hélas raison : faire une confiance aveugle ça coûtait… Et ils avaient déjà les Geniis comme emmerdeurs numéro un en tête de lisse avec les Wraiths.

Vint enfin le jour de la rencontre. Lorn se leva de bonne heure pour tout préparer, s’assurant d’avoir dans le petit frigo de son bureau le nécessaire pour la moindre fringale, prévoyant aussi quelques boissons, dont des bières et jus de fruits, ainsi qu’une bouteille de vin rouge qu’il avait réussi à dégoter puis il s’habilla. Un pantalon gris tombant à la malléole, des chaussettes grises pour se fondre dans ses chaussures de cuir noir, soigneusement ciré, une chemise blanche agrémenté d’un nœud papillon noir puis une veste du même gris que le pantalon. Bref, une tenue élégante, parfaite pour un cocktail ou pour recevoir une personne de haut rang comme c’était le cas en cette magnifique journée de décembre. Noël approchait d’ailleurs à grands pas et Lorn se demandait encore s’il se présenterait aux festivités. Ce n’était pas sa période favorite, et il était, comme souvent à l’approche de cette date, particulièrement irascible. Un rien suffisait à le faire éclater. Il essayait toutefois de rester calme, de laisser sa peine, sa tristesse murée dans un coin de son esprit mais elle remontait parfois, se manifestant dans ses yeux et dans ses pensées de façon plus présente qu’un grain de sable sous la dent.

Lorsque la porte des étoiles s’activa, Lorn se tenait devant, un sourire engageant sur les lèvres, curieux et impatient de quitter cette grande salle et ses militaires et civils qui regardaient en murmurant quelque chose sur la télékinésiste, qui avait visiblement laisser un certain souvenir même s’il ne chercha pas vraiment à savoir si c’était en bien ou en mal. Lorsque le bouclier s’abaissa, l’archéologue revit rapidement ses formulations afin de ne pas cafouiller puis regarda l’escorte et la jeune femme franchir l’anneau d’énergie et il s’inclina dans une révérence impeccable, de celle que l’on pouvait faire à un roi dans l’ancien temps sur Terre en disant, les yeux rivés sur celle qu’il considérait être comme Emilia « Soyez la bienvenue, votre altesse en Atlantis ! Mon nom est Lorn Fawkes, à votre service. » . A son service à de nombreuses exceptions : il n’allait pas jouer au larbin, seulement se montrer courtois et digne de quiconque tenait le rôle de l’hôte. Puis il ajouta, en faisant un geste vers l’un des accès à la salle « Si vous voulez bien me suivre vers un lieu plus adapté à une conversation ? » .

Lorsqu’elle se fut rapprochée suffisamment, il s’engagea dans ledit accès, s’orientant vers son bureau, mais d’un pas assez lent pour ne pas l’obliger à courir et surtout proposer d’autres lieux possiblement plus à sa convenance.

« J’avais pensé vous recevoir dans mon bureau, mais si vous préférez nous pouvons nous rendre dans l’un des lieux que la sécurité daignera vous laisser approcher. » . Il avait le sentiment d’oublier quelque chose dans toutes ces politesses mais il ne savait plus quoi et, de toute façon, si le mal était fait, il n’allait pas s’excuser platement. C’était idiot, inutile et ne ferait rien pour arranger la situation. « De ce que j’ai su comprendre des rapports, votre peuple est profondément lié aux Anciens. Votre monde dispose-t-il de vestiges de leur civilisation ? Des ruines, des textes anciens ? » . Ce n’était pas un peu trop tôt pour faire son curieux ? Difficile de réprimer cet élan naturel, ce goût maladif pour les fouilles. De plus, il fallait bien commencer la conversation à un moment ou un autre et Lorn détestait perdre des heures dans les banalités. Le voyage a été agréable ? Question idiote. Et s’il y avait eu des incidents ? Cela ne ferait que retourner le couteau dans la plaie ! Aucune gêne avec son attitude donc, de la curiosité et un arrière-fond de pensées plus sombres, plus tumultueuses et tristes. C’était là à peu de choses près ce qui se passait derrière ses yeux marron.

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Mar 18 Déc - 21:22

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Après quelques péripéties mouvementées, le Conseil gaëllien et les gouverneurs atlantes avaient finalement conclu à une alliance courant août 2018 (selon le calendrier atlante) qui se déclinait, entre autres choses, en échanges commerciaux et intellectuels. Emilia s’était donnée du mal pour que les choses aboutissent et elle était pleinement satisfaite de la situation. Ce n’était pas tant la culture terrienne qui l’intéressait mais plus les connaissances qu’ils détenaient et la cité Sage qu’ils occupaient. De fait, même si son temps était rare et précieux, elle s’efforçait de saisir toutes les occasions de traiter avec ce peuple, surtout si cela lui donnait un prétexte pour se rendre sur Atlantis.

Un jour d’été lui parvint un courrier pour le moins original. Un spécialiste en anciennes civilisations demandait après elle. Intéressant, le genre de rencontre qui pouvait énormément lui apporter.  Elle avait le sentiment d’avoir fait le tour de la question en Gaëllie où histoire et spiritualité étaient intrinsèquement liés, mais elle ne désespérait pas de poursuivre ses découvertes ailleurs. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle elle finançait ces expéditions sur d’autres planètes, ce qui l’avait conduite à être sélectionnée par les wraiths et à avoir fait connaissance avec les atlantes.

Consultant son assistante, elle étudia son emploi du temps pour le mois à venir. Chargé comme toujours, mais avec quelques arrangements et en décalant un rendez-vous, elle pouvait libérer une journée la semaine suivante. Décidant de se mettre au diapason, elle rédigea quelques lignes sur une feuille avant de bricoler un cachet à la manière de Lorn. C’était une manière amusante de sceller un courrier, probablement une tradition terrienne qu’elle comptait bien respecter.    



Professeur Lorn,


Je serai heureuse de répondre à votre sollicitation, rien de tel qu’un partage de connaissances pour faire avancer la recherche. Je peux me rendre disponible dans huit jours, soit le 14 décembre (calendrier atlante) si j’ai bien compris votre système de calcule de temps. Merci de confirmer votre disponibilité auprès des gardiens de la Porte qui me communiqueront votre réponse pour que je sois tenue informée dans les plus brefs délais.

Bien à vous,

Emilia Zeïn’ Eidolas



Ps : très originale cette lettre cachetée, une coutume atlante ?


Elle obtint la fameuse confirmation quelques temps plus tard et prépara quelques affaires en vue de la rencontre. Le jour J, la princesse se présenta à la Porte fit composer les coordonnées vers Atlantis, se fit connaitre par radio et traversa une fois qu’on lui eut donnée confirmation que le bouclier avait été levé. Une escorte la suivie, il était rare qu’elle se déplace sans au moins une paire de bras pour la protéger. Cette fois ci ils étaient deux : un homme et une femme. La premier était brun, la peau très matte et de petite taille, la seconde grande, les cheveux auburns et le regard dur ; tous les deux portants des armes non dégainées.

L’espace autour de la Porte d’Atlantis n’avait pas bougé d’un pouce, chaque élément de décors était à sa place. Elle était attendue, un homme était planté au milieu du hall… étais-ce le fameux Lorn Fawkes ?

Emilia eut l’agréable surprise de le voir courber le dos et se présenter en y mettant les formes. Les atlantes avaient rarement ce réflexe et pour cause, les normes monarchiques n’étaient pas évidentes dans leur système démocratique. Bien sûr, le chercheur n’avait pas adopté les gestes et les paroles protocolaires gaëlliens mais elle fut sensible à sa démarche.

- Ravie de faire votre connaissance, monsieur Fawks. Je vous remercie pour votre invitation.

La blondinette porta un regard curieux à la tenue vestimentaire de son hôte. Elle tranchait avec ce qu’elle avait eu l’occasion d’observer sur Atlantis jusqu’à présent. Elle-même portait une tunique blanche cintrée par une ceinture, un pantalon gris et des bottes noires. Dans la symbolique gaëllienne, le blanc était une couleur souvent rattachée aux êtres d’exception qui en portaient à toutes les cérémonies religieuses. Il était fréquent que les vêtements soient également accompagnés de doré à ces occasions-là. Sur sa main droite figurait le tatouage des Êtres d’Exception : un cercle en spirale et des ailes, ainsi que l’inscription en ancien “Enfants des dieux”. Sur son poignet gauche était entortillé un curieux bracelet qui paraissait être à mi-chemin entre une machine et un bijoux décoratif.

- Votre bureau sera parfait, dit-elle en lui emboitant le pas. Son escorte se tenait en retrait, gardant un œil sur les alentours sans se mêler de la conversation.

Au moins ils ne seraient pas dérangés par des âmes curieuses. Elle passait difficilement inaperçu maintenant que les atlantes étaient au courant pour son pouvoir de télékinésie. Elle avait fait le choix de cacher à ces personnes son empathie pour une raison simple : peu de gens appréciaient de savoir que quelqu’un pouvait pénétrer leur intimité en espionnant leurs sentiments. La princesse ne tenait pas à susciter plus de méfiance qu’il n’y en avait déjà, pas sans une très bonne raison.
Le chercheur entre dans le vif du sujet avant même qu’il ne soit installé, la patience ne semblait pas être son fort.

- Bien entendu, mais hélas rien qui ne soit à la hauteur de cet endroit, répondit-elle sobrement. Elle n’avait pas particulièrement envie de s’étaler en détails alors qu’ils marchaient mais elle sentait la curiosité de son voisin et songea qu’il risquait de la relancer incessamment sous peu pour obtenir des précision.

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