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[Moment fort 10] : Un instinct de protection

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Atlantis
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√ Arrivée le : 01/08/2015
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Lun 30 Jan - 17:56

Atlantis
Intrigue Grande Lessive


Un instinct de protection


[Moment fort 10] : Un instinct de protection Elizabeth-dr-elizabeth-weir-31381018-100-100

Point de vu : neutre
Personnes impliqués : Tout le monde
Interventions autres ? : tout le monde
chronologie : : 5ème jour : 09h30

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L’alarme d’une annonce générale fut à nouveau sonnée. La cheffe de la cité semblait tendue. Elle froissait dans sa main son papier. Elle n’avait pas mis au courant Steele et Hoffman de sa décision. Après tout c’est elle la cheffe non ? Elle n’a pas de compte à rendre. Quoique elle sentait que ce qu’elle allait faire allait être difficile à gérer. Car, elle aurait la visite des concernée et surtout des deux administratifs. Elle ne savait pas ce qu’elle redoutait le plus. Hum… non les militaires c’est facile à envoyer bouler, par contre le duo « Steelman » étaient une autre chose.

Enfin bon, elle hésita encore, elle avait l’impression de perdre la tête dans cette affaire. Une main, salvatrice lui frotta tendrement le dos. Ce fut Luke. Elle leva les yeux vers lui. Il ne lui parla pas, mais semblait l’encourager et cela lui fit du bien. Pour une fois, qu’elle se sentait soutenue par autre chose que des amis ou des collègues. Elle prit une grande inspiration, quand il la serra contre lui. Quelques frissons, la parcourue elle le toisa de ses pupilles dilatées, avant de quitter ses quartiers et marcher jusqu’à la salle d’embarquement d’un pas décidée.

Elle monta jusqu’à son bureau vers le balcon, pour prendre la parole. Mais, avant ça, elle attendait de voir que tout le « monde » soit là. Elle évita soigneusement les regards interrogateurs des « Steelman ». Quand la foule fut réunie elle se lança :
« Bonjour à tous. Je vous aie réunis une seconde fois, pour parler du commandement militaire pour la suite de l’enquête. Comme vous le savez tous, le Colonel Sheppard a été incarcéré et accusée de faire partie de cette confrérie de la « honte ». Celui-ci a été blanchit de tout soupçon. Celui-ci est présent et fort heureusement libre » Elle fit une pause, laissant les émois de chacun s’épancher envers le colonel. Puis repris. « Le major Frei, a aussi été agressée mais elle a pu sortir de l’infirmerie. » Une nouvelle pause, elle toisa le regard de la jeune femme.

« Cependant, ils ne peuvent pas reprendre leurs fonctions. Ils sont trop impliqués pour être neutre avec les futurs agresseurs. Hier, la compagne du colonel a été sauvagement attaquée et sans l’intervention du sergent-maître Eversman, elle aurait sûrement été violée et dans un état critique. En conséquence, parce qu’elle est une victime et un témoin gênant pour certaine personne, je refuse que le colonel participe aux commandements de peur que les sentiments outrepassent la raison. Surtout que son cercle d’amis proches, sont ou sortent de l’infirmerie. Je suis navrée John, mais vous êtes trop sentimental pour faire abstraction à ce genre d'événement. » Elle fit un geste de la main, pour calmer les réactions vindicatifs et des protestations.

« Quant au major Frei au vu de la nature de son agressions et de ses blessures, je refuse aussi qu’elle reprenne sa place en tant que seconde responsable. Par peur, qu’elle laisse la vengeance passer au-dessus de son légendaire professionnalisme. La jugeant encore trop « fatigué » mentalement parlant pour être apte à diriger ce genre d’évènement dur pour la psyché. ».

Elle froissa son papier, pour regarder droit devant elle. « Vous reprenez vos fonctions quand l’enquête sera close, d’ici là, vous pouvez participer au même titres que les autres militaires, sauf que pour le major, vous serez suivis par des médecins tous les jours ». Elle prit une grande inspiration. « Pour remplacer Frei et Sheppard, j’ai choisie de garder le major Woosley, qui continuera encore à assurer ses fonctions de responsable militaire et elle sera secondée du capitaine Harris ».
Alors qu’elle s’apprêtait à rajouter quelques chose, une voix furibonde s’éleva celle du major Woosley.

« Madame ! Je ne suis navrée de vous offenser, mais vous ne pouvez pas faire ça ! On sait tous ici, que qu’importe les sentiments intimes du colonel ou l’agression du major Frei, qu’ils sont toujours aussi compétents pour commander ! Nous avons besoin d’eux ! Et si le major ne peut plus exercer son commandement à cause d’une agression, moi non plus dans ce cas, puisque j’ai été passée à tabac hier ! »

En effet la major avait un magnifique cocard sur le visage, la lèvre écorchée, le reste n’étant pas visible. Weir, la toisa calmement.

« Vous avez eu quelques blessures, vos agresseurs ont été arrêtés, le major Lorne étant à l'infirmerie, il ne reste que vous. Le colonel Caldwell arrivera d’ici les prochains jours avec une délégation du CIS. En attendant préférez vous passer second responsable ? »

« Hors de question de laisser Harris responsable ni second ! »
« Vos soupçons à son égard tant vers de la haine Major, vous savez très bien que le Capitaine Harris a été blanchi et aucune preuves n’est contre lui. »
« Je veux bien seconder le major ou le colonel, mais n’évincer pas les deux. Nous pouvons organiser un roulement pour être plus efficace »

Weir semblait hésiter. Elle mit du temps à répondre. « C’est vrais que…. »
Soudainement, des cris, des hurlements de la foule …. Sheppard se mit à trembler et à s’écrouler sur Adam Ross qui était à ses côtés qui était à ses côtés. Weir, poussa un cri, sa prunelle dilatée se mit à parcourir la salle en tremblant de plus belle. Elle se braqua aussitôt. Les médecins et infirmiers présent dans la salle prirent en charge immédiatement (Coralie) et embarquèrent sur des civières le Colonel, qui était en train d’avoir un massage cardiaque.

Le major Woosley regarda une nouvelle fois la cheffe de la cité, qui semblait désemparée de voir ça. « Madame ? »

« C’est mon choix et il n’est nullement discutable. Vous et le capitaine, venez dans mon bureau, pour parler de la sécurisation de la cité et de la gestion des militaires qui sont de plus en plus nombreux à l’infirmerie »

Sur ce la cheffe de la citée, hocha la tête et se détourna, pour se rendre à son bureau d’un pas vif. Elle fut alpaguée par Hoffman et Steele.
« Élisabeth, quand avez-vous pris cette décision ? »
« Plus tard Alexander, je dois entretenir nos deux responsables » et elle partit sans rien dire les laissant en plan.
« Nous allons faire une réunion avec les enquêteurs dans mon bureau, quand vous avez finit qu’ils nous rejoignent » répondit calmement l’anglais.
« D’accord »

Le major Woosley, soupira, regardant sa collègue major et le colonel, d’un air navré et monta les escaliers suivit du capitaine Harris. La jeune femme, s’écarta de lui, comme s’il avait la peste. Elle le foudroya du regard.


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ACTIONS :

· Réactions à l’annonce
· Il est impossible de voir Weir après
· Les enquêteurs doivent aller dans le bureau d’Hoffman (à vous de voir qui y va)
Lien : http://www.atlantisinsurrection.com/t1953-moment-fort-11-une-anguille-sous-la-roche-ou-bien-un-mirage#37017
· Julia et Harris sont dans le bureau de Weir
---> Sheppard OUT infirmerie entre la vie et la mort

° CODAGE PAR DITA | EPICODE °

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Invité
Invité

Lun 30 Jan - 18:47

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Coralie s'était rendu à la nouvelle convocation tonitruante de Weir avec une boule au ventre. Qu'est-ce que la cheffe de la cité allait encore leur apprendre comme catastrophe ? Que le décès de l'autre salopard mort dans son lit était du à une bactérie ou un virus ? Que les weir ou les genii était en approche ? Que la cité était en train de couler ? Une ouragan ? Une tempête solaire ? Qu'elle s'était cassé un ongle ?

L'infirmière avait l'impression d'être à bout de nerfs, prête à voler dans les plumes du premier qui oserait la contrarier. Elle détestait être ainsi, elle se sentait coupable de ne pas être capable de garder son calme, mais entre le stress et la fatigue, elle ne maitrisait plus grand chose.

Elle se retrouva donc au milieu de quelques centaines d'autres personnes pour écouter le discours de Weir. A peine cette dernière avait-elle ouvert la bouche que l'infirmière se trouva plongé dans un abime de perplexité. Elle ne comprenait pas la décision d'Elisabeth de faire un tel échange à la tête des forces armées. Après tout, John avait été blanchit et libéré, et Karola... bon, Karola, c'était un autre débat. Vu ce qu'elle avait subit, Coralie aurait été d'avis de lui faire passer un entretien avec Evelyne avant de la déclarer à nouveau apte à son poste. Après tout, dans son cas, les blessures physiques n'était pas le pire. Mais, elle avait appris depuis longtemps à se conformer au décision de ses supérieurs, surtout quand elle les admirait autant qu'Isia.

Mais il y avait autre chose qui la perturbait dans le discours de la cheffe de la cité. Elle semblait... bizarre. Coralie trouvait qu'elle avait une flamme nouvelle, et en même temps, elle lui donnait l'impression de réciter un texte appris par cœur. Bon, d'un autre coté, la pauvre n'avait pas été épargné non plus par les derniers événement, et elle avait du être sérieusement ébranlée. Peut être que l'impression qu'elle donnait n'était du qu'au stress et à la fatigue.

Quoi qu'il en soit, même parmi les nouveaux « promu », visiblement, la décision ne faisait pas l'unanimité. Woosley en particulier paraissait particulièrement peu enthousiaste à l'idée de récupérer de telles fonctions, et encore moins de les partager avec Harris... lui par contre... bah, elle avait beau l'observer, elle n'arrivait pas à déchiffrer son ressentit. Il restait parfaitement de marbre.

Soudain, le discours fut interrompu par un cri et un remue ménage à quelque distance d'elle. Coralie vit une tête rousse disparaître au milieu de la foule. Elle n'eut aucun problème à reconnaître la chevelure écarlate de Nathalie. Elle fronça les sourcils et commença à se diriger vers l'endroit d'où venait le remue ménage au moment où elle entendit quelqu'un appeler à l'aide et réclamer une équipe médicale.

Jouant des coudes elle arriva enfin prés du blessé, et se sentit pâlir. Le lieutenant-Colonel Sheppard gisait sur le sol, secoué de convulsions, Nathalie était auprès de lui, l’exhortant à rester conscient, pendant qu'une foule de personne s'agglutinait autour de lui, lui pompant le peu d'air dont il pouvait disposer.

- « TOUT CEUX QUI NE FONT PAS PARTIE DU PERSONNEL MEDICAL RECULENT ! »
hurla-t-elle avec rage.

Elle posa sa main sur l'épaule de la rouquine.

« Tu peux rester à condition de pas être dans nos pattes. »
lui dit-elle doucement en commençant à ausculter sommairement le jeune homme.

Elle fronça les sourcils avant d'ordonner à l'un des médic présent d'entamer une manœuvre cardio-pulmonaire d'urgence et d'enclencher sa radio.

//Équipe médicale de garde : Intervention immédiate en salle d'embarquement. Suspicion de crise cardiaque. Homme, 40 ans, pas d’antécédent. Terminé //

//Reçu ! Nous arrivons ! Terminé//


Coralie savait qu'elle n'avait pas besoin d'en dire plus pour que l'équipe de garde prenne les dispositions nécessaire. En moins de 5 minutes, John fut pris en charge et transporté à l'infirmerie après avoir été stabilisé. Mais l'infirmière était dubitative. Elle ne pouvait pas croire à une crise cardiaque spontanée chez un homme de cet age en très bonne condition physique.

John trainait quelques casseroles médicales, mais la fragilité cardiaque n'en faisait pas partie, et vu le nombre de fois par mois où il atterrissait à l'infirmerie, elle connaissait son dossier médical par cœur. Il y avait autre chose derrière tout ça, elle en était convaincue.

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Karola Frei
Major
Second responsable militaire
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√ Arrivée le : 14/05/2015
√ Date de naissance : 09/04/1983
√ Nationalité : Allemande

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√ Messages : 2298
√ Localisation : Site Alpha

Lun 30 Jan - 19:19

Karola Frei
Karola venait tout juste de sortir de l’infirmerie avec une idée bien fixe en tête. Avant de la mettre en œuvre, elle voulait repasser par ses quartiers histoire de prendre quelques dispositions. Il n’y avait que là qu’elle pourrait être tranquille quelques temps étant donné que son garde du corps Lawson ne la quittait plus d’une semelle depuis 48 heures. Elle lui ordonna de rester planter devant la porte de ses appartements le temps pour elle de se « rafraîchir ». Une fois seule à l’intérieur, elle poussa un long soupir de soulagement. Elle qui était d’un naturel introverti avait mal vécu la vie à l’infirmerie et la présence envahissante du sergent Lawson.

Mais elle n’avait pas le temps de profiter d’intimité, il lui fallait se dépêcher. Tout cela n’avait que trop duré. Elle se changea rapidement, attrapa son oreillette et avala quelques médicaments prescrits par Isia contre la douleur avant de ressortir de ses quartiers l’air de rien, Lawson sur ses talons.

- Où allons-nous Major ?

- Dans mon bureau.

Le sergent opina du chef et escorta la jeune femme sur le trajet jusqu’au moment où une alarme sonore retentit suivie d’une annonce à se rassembler dans la salle d’embarquement, comme quelques jours plus tôt. Peut-être était-ce pour annoncer une bonne nouvelle, celle que l’enquête était close et que tout était terminé.

Karola déchanta rapidement quand elle débarqua et vit une Elizabeth Weir un peu devenue l’ombre d’elle-même à première vue. En tout cas, elle n’avait pas cet air sûr d’elle et cet aura de chef qu’elle avait pourtant l’habitude d’arborer lorsqu’elle devait faire des annonces. Quelque chose devait sans doute être arrivé. Et effectivement, c’est une bombe que la cheffe lâcha. A mesure de son discours qui visait à démettre et Sheppard et Karola de leurs fonctions le temps que l’enquête se termine, elle eut l’impression de sentir sa mâchoire se décrocher, abasourdie par une telle décision non concertée. Mais surtout, ce qui lui déplut le plus ce fut les détails qu’elle donna à l’ENSEMBLE de la cité présente dans le lieu. Karola avait bien insisté pour que peu de personnes soient au courant pour son agression et là c’était carrément Atlantis qui se retrouvait être au courant. Elle sentit ses poings se serrer de colère. Depuis quand Weir, si discrète d’habitude faisait ce genre d’annonce. Ne se doutait-elle pas que ce genre d’informations pouvaient être dangereuses une fois révélées.

Karola sentit quelques regards se poser sur elle, regards qu’elle fit bien vite dévier en lançant à son entourage un regard dont elle seule avait le secret. Elle reporta son attention sur Weir qui semblait avoir bien du mal à prononcer son petit discours. De là où elle était, elle put apercevoir qu’elle baissait régulièrement la tête. Elle tenait dans sa main une feuille de papier. Tiens donc, depuis quand la civile écrivait-elle ses laïus ? N’était-elle justement pas connue pour son éloquence naturelle et la spontanéité de ses propos. Karola fronça les sourcils. Quelque chose clochait.
Et voilà qu’à présent, elle confortait Woolsey et Harris dans leurs rôles de chefs militaires. C’était incompréhensible et son cerveau tournait à plein régime pour essayer de faire le lien entre tout ce qu’elle savait. Elle n’entendit même pas l’échange entre Woolsey et Elizabeth, trop plongée dans ses pensées. Et si Weir.. ? Soudain, des cris l’extirpèrent de ses profondes réflexions. Un regard derrière elle et elle aperçut Adam soutenir John qui venait de s’écrouler sur lui. Karola commençait à ne plus rien comprendre. Le colonel fut immédiatement pris en charge et Weir, du haut de son balcon, le visage blême finit par annoncer pas très convaincante, que sa décision était irrévocable et qu’à présent elle voulait s’entretenir avec les nouveaux dirigeants militaires. Karola lança un regard froid au major Woolsey lorsque cette dernière gravit les marches pour rejoindre Harris et Weir.

Si Karola avait jusqu’à présent gardé son calme se sentait bouillonner de l’intérieur. Tout ceci était juste une vaste blague, elle avait l’impression d’avoir assisté à un spectacle comique avec Elizabeth Weir en tête d’affiche dans le rôle de la bouffonne. Elle avait bien l’intention de faire un peu bouger les choses pour que le dernier acte ait enfin lieu.

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Invité
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Lun 30 Jan - 20:13

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Encore cette foutue alarme ! Bordel, Weir pouvait pas faire dans la discrétion ou quoi ? On dirait presque que ça lui plait de stresser tout le monde ! et qu'est-ce qui vaut la peine d'une alarme sinon un truc encore plus stressant ? Curieusement moi, ça allait : on me fait confiance, je peux me défouler (sous encadrement) si je tombe sur un "contrevenant", et je me fais de nouveaux amis (ah oui et mon médecin traitant est a l'hosto !). Mes voix me laissent en paix, mes exercices de méditation avec Teyla doivent porter leurs fruits, mais du coup je me demande si elles n'ont pas émigrées dans la psyché des connards qui nous pourrissent la vie !

Dans la salle d'embarquement j'ai un soudain sentiment de déjà-vu ! Du coup mes alarmes internes se réveillent : sans rien prendre mes hormones crèvent le plafond ! et sa majesté se radine, fier et autoritaire ! Bon j'ai toujours respecté cette femme, malgré sa froideur et parfois une certaine insensibilité, mais là ! On dirait bien qu'elle aussi se ressent de cette folie ! D'où je suis j'ai bien l'impression que ses pupilles sont bizarres (des excitants pour tenir le coup ? bravo pour l'exemple !), mais voilà la nouvelle du jour : Woolsey reste au commandes secondées par ... Capitaine "tranches de pain complet" Harris ! Ben voyons ! Le premier suspect depuis l'affaire Fischer. Bon je comprends la mise sur la touche de Frei : elle peut dire tout ce qu'elle veut, ce qu'elle a subie n'est pas anodin, et peu de femmes sont assez fortes pour vivre cela comme si rien n'avait eu lieu. Mais Sheppard ? Ses sentiments ne l'ont pas empêchés de me sauver les miches plus d'une fois ! Mais il est tout aussi vrai que ce qu'avait subie Miss Dumont en venant me "secourir", l'avait quand même bien gonflé, pas sûr que seul avec moi, je n'aurais pas reçut des beignes ! Voire pire !

Pendant que Woolsey nous joue la grande scène de l'acte 2 scene 2 ! Je l'écoutes d'une oreille et cherche les "perdants" du jour : l'une vient de perdre une grande part de son autorité : tout le monde sait ce que ça veut dire "agressée" et période d'infirmerie, une réputation ça demande des années à construire mais une poignée de secondes suffit pour la détruire. Pour Sheppard, il pourrait compter sur Woolsey, Hoffman et Steel, soutenus par les volontaires en charge de nettoyer cette boue. Mais non, lui aussi on met le doute : c'est un officier capable mais trop sentimental ? Ou comment permettre à tout un tas de types de plaider pour du favoritisme ou du harcèlement dans certaines de ses décisions. Toutes ses nominations et ses sanctions sont désormais louches, même si personne n'en dira rien, maintenant il va avoir un tas de lèche-cul à ses basques !

Tiens ! C'est quoi ce bruit ? Qu'est-ce qui se passe ? Soudain un mouvement de foule, des cris d'alarmes ! Sheppard ! il est à terre ! Je tend l'oreille : son cœur est faible ! Tout ça sent l'attentat à plein nez ! Et là-haut Weir ne voit rien ou ne semble pas s'en offusquer, elle est fâchée de l'attitude de Woolsey mais cette dernière préfère capituler on dirait, plutôt que Mister painrassis prenne les rênes du pouvoir. Ils s'attaquent à Sheppard ? Ils ont finalement osés ! Je vois Hoffman et Steel qui font signe de les rejoindre en réunion. Ouais je viens ! Et j'espère bien qu'on va m'écouter, car là, la limite est dépassée, maintenant le monstre est en chasse ! Malheur à ce qui se trouve sur sa route !

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Invité
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Lun 30 Jan - 20:29

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L'alarme dérangea Adam pendant que celui-ci tentait de faire un récapitulatif de tout ce qu'il avait pu accumuler comme informations depuis le début des interrogatoires. En vérité, il comptait en faire un rapport et l'envoyer à Alexander, en espérant que les quelques informations lui soient plus utile à lui qu'à Adam.

Au moment de sortir de ses quartiers, il se saisissait de son zat, qu'il accrochait à sa ceinture, pour plus de sécurité. Depuis l'agression du Major Frei et de Cheyenne, il ne sortait plus jamais dans les couloirs de la cité sans une arme, zat ou pistolet. Il se fraya rapidement un chemin au milieu des cohortes de membres du personnel de la cité, jusqu'à la salle d'embarquement, qui commençait à se remplir de plus en plus. Adam commençait réellement à se demander si ces "alertes" n'étaient pas en réalité assez courantes sur la cité. Au bout d'un moment, il finit par repérer une silhouette familière dans la foule. Le colonel Sheppard, son instructeur. C'était bon de le savoir enfin en liberté. Le pilote de chasse s'arma de son plus beau sourire, avant d'aller se poster proche de son supérieur, lui faisant un rapide salut militaire, comme l'indiquait le règlement en vigueur.

Ravi de vous voir en liberté Colonel. On commençait à s'ennuyer sans vous.

Sheppard lui lança un regard, avant de lui sourire à son tour. Heureusement, le colonel n'était pas connu pour être un grand rancunier. Il lança quelques mots, sur le ton de la plaisanterie.

Je le suis tout autant, je commençais à me déplumer en cage. On reprendra les cours, quand tout cela sera fini, à moins que vous avez peur que je vous face des attouchements.


Le pilote pouffa un peu à la plaisanterie de John, avant de se contenter d'hocher la tête pour lui indiquer son accord. Puis, il se tourna vers Weir, qui venait de prendre la parole. Il écouta attentivement le discours, jusqu'au moment où Weir annonça le secondement du Major Woosley par Harris. Le sous-lieutenant savait pertinemment qu'Harris était encore désigné suspect, et ce choix était donc loin d'être judicieux. Il observa l'échange entre Weir et Julia, serrant le poing dans la poche, sans rien dire. Si les suspicions sur Harris étaient fondées, Weir était en train de mettre toute la cité en danger avec cette décision. Cela dit, le pilote n'avait pas à les remettre en cause. C'était un soldat, et Weir était la cheffe de l'expédition. Si elle estimait que c'était la meilleure solution, alors soit, il fallait l'accepter, même s'il n'était pas vraiment convaincu de par son raisonnement. Il se tourna légèrement vers Sheppard pour lui demander ce qu'il en pensait, avant de remarquer que ce dernier était en train de légèrement trembler.

Sheppard ? Vous allez bien ?


Comme toute réponse, les tremblements s'accélérèrent, et les yeux du colonel se révulsèrent. Le cœur d'Adam fit un bond dans sa poitrine, et il fit un pas en avant pour rattraper le colonel au moment où se dernier s'effondrait sur le sol.

Un médecin par ici ! J'ai besoin d'aide ! Le colonel fait un malaise !


Adam gardait son sang-froid, essayant de retenir le colonel pour éviter que celui-ci ne s'agite trop sous les convulsions. Il fut rapidement viré par une jeune femme rousse, qui prit le relais auprès du colonel. Adam se laissa dégager sans broncher, reculant de quelques pas, fouillant la salle du regard à la recherche des couleurs du personnel médicale. Il vit finalement une femme qui semblait plutôt énervée arriver sur le lieu du drame, hurlant à tout le monde de reculer. Adam s'exécuta, profitant par la même occasion pour entrainer avec lui quelques personnes en arrière, ne quittant pas la scène des yeux. Bordel Sheppard, c'est pas le moment de nous claquer entre les doigts. Le personnel médical s'acharnait autour de lui, tandis que Weir s'éclipsa après avoir échangé encore quelques mots avec le Major. Rapidement, le colonel fut évacué en civière, sous les yeux éberlués de l'assemblée. Le regard du sous-lieutenant passa rapidement de Hoffman, qui se trouvait en surplomb de la salle, à Sheppard, qui s'éloignait à toute vitesse vers l'infirmerie. Tant pis pour l'enquête, il devait s'assurer que le colonel allait bien. Ross laissa échapper un petit juron avant de s'élancer à la suite de l'équipe médicale, laissant en plan le reste du personnel de la cité. Il resta à bonne distance, de façon à ne pas les déranger, suivant du regard les différentes médecins qui s'activaient autour du colonel. Ce dernier fut amené dans une salle à part, et Adam fut bien gentiment prié d'attendre dehors.

Ross attendit une bonne quinzaine de minutes, jusqu'à ce qu'une infirmière ressorte de la pièce. Il s'enquit de l'état du colonel, qui avait été stabilisé d'après la femme. Bon, c'était déjà une bonne nouvelle. Ross tenta de se remémorer les discussions avec Sheppard, et les études du dossier du militaire qu'il avait eu l'occasion d'étudier pendant l'enquête. Il ne se rappelait cependant pas d'un quelconque antécédent médical particulier. Il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond dans cette histoire. En même temps, tout c'était passé tellement vite...

Il fut tiré de sa réflexion par la voix du sergent Lawson dans son oreillette.

Lieutenant Ross, y'a un problème avec le Major Frei.


L'officier fronça soudainement les sourcils, se penchant en avant, mettant sa main au niveau de son oreillette.

Je vous reçois Lawson. Qu'est-ce qui se passe ?


Le Major s'est enfuie dans un téléporteur lieutenant. J'ai rien pu faire...


Cette fois-ci, le juron que lâcha Ross fut prononcé à haute voix, et plusieurs personnes lui lancèrent un regard surpris. Il se leva d'un bond, s'élançant hors de l'infirmerie. Si le Major comptait faire ce qu'Adam craignait, alors il devait se dépêcher de l'en empêcher.

Lawson, allez à l'infirmerie et surveillez les suspects ! C'est un ordre !


Le sous-lieutenant attrapa un scientifique, qu'il tira rapidement hors d'un téléporteur, s'excusant au passage pour le désagrément. Au bout de quelques secondes, la porte se referma derrière l'officier. Direction : les cellules.

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Lun 30 Jan - 20:37

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Depuis la première annonce des agressions, le quotidien de Kara n'avait pas été très chamboulé. Elle avait véçu des situations de guerre, avait déjà été agressé mais pas sexuellement. C'est pas qu'elle s'en foutait mais elle pensait que si ça devait arriver elle ne pourrait rien y faire. Donc, elle continuait à travailler comme si de rien n'était et passait beaucoup de temps à la salle de sport.

L'ambiance de la cité était devenu nauséabonde , tout le monde se méfiait de tout le monde mais c'était surtout les militaires qui étaient visés. Kara observait beaucoup les comportements des gens. Il y avait quelques trucs qu'elle ne comprenait pas. Pourquoi l'enquête se faisant autant en douce alors que les agresseurs semblaient agir de plus en plus au grand jour? Son expérience lui disait qu'ils se sentaient couvert par la hiérarchie.

Elle connaissait les militaires, elle connaissait les manipulations que pouvaient faire les gens hauts placés car elle passait son temps à faire ça. Enfin là elle était à la salle de sport quand elle entendit l'alarme pour une nouvelle annonce. Elle s'épongea le visage et parti vers la salle d’embarquement en tenue de sport avec la serviette autour du cou. Qu'est que Weir allait encore annoncer? d'autres agressions? La diplomate en avait entendu parler.

Quand elle arriva dans la salle d'embarquement , il y avait du monde mais moins que lors de la première annonce. Weir annonça un changement dans la direction militaire et elle tiquait un peu. Kara trouvait que ça virait à l'acharnement contre les gris. Elle entendit un cri et vit un attroupement autour d'un militaire au sol. La diplomate restait là où elle était mais trouvait tout ça de plus en plus bizarre.

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Invité
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Lun 30 Jan - 23:46

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Nathalie trépignait dans sa chambre, impatiente de voir John passer la porte comme il le lui avait promis la veille. Son imagination débordante et délirante ne pouvait s'empêcher d'imaginer des scenarios catastrophes pouvant venir contrecarrer ses projets de la journée avec John.

Mais, finalement, à peu près à l'heure prévue, il avait passé la porte. Elle s'était jeté dans ses bras et l'avait embrassé passionnément, sans se soucier de savoir si quelqu'un pouvait les voir. Il fallait au moins qu'elle arrive à trouver une point positif à toute cette horreur, ne serait-ce que pour ne pas devenir folle. Être enfin autorisé à montrer l'affection qu'elle ressentait pour son compagnon était la meilleure chose qu'elle pouvait trouver.

Bon, d'un autre coté, même si le secret avait été maintenu, elle n'était pas sûre qu'elle aurait pu se retenir de brimer son élan.

Ils venait de quitter l'infirmerie et Nathalie faisait déjà des plans pour le reste de la matinée, bien décidée à voler quelques heures au jeune homme quand l'alarme avait retenti, convoquant tout le monde dans la salle d'embarquement pour une déclaration de Weir.

Nathalie avait dit adieu a ses projets immédiats.

- Je me demande bien ce qu'elle va nous annoncer" dit la jeune femme avec inquiétude.

- « Moi aussi, j’espère que ce n’est pas une agression grave ou bien un changement de poste. » le colonel était plutôt calme.

Elle glissa sa main sous le bras de son compagnon, puisque maintenant elle en avait le droit.

-"Oui, moi aussi, mais bon, je doute que ça soit pour nous annoncer une bonne nouvelle."

Cela lui faisait encore étrange qu’elle puisse le toucher en public, il frissonna, allant retirer son bras, avant d’arrêter son mouvement. Machinalement, il regarda autour de lui.

-« Je le crains oui. Nous verrons remarque. En tout cas, j’ai hâte de pouvoir mettre mes gros sabots la dedans, je sens que je vais en avoir de la lecture »

Nathalie avait sentit le mouvement de recul de son compagnon, ainsi que son regard aux alentours. Visiblement, même si leur relation était à présent officielle, il n'appréciait pas qu'elle se montre trop familière en public. Avec un léger soupir, elle retira sa main.

- « Oui, je ne doute pas que tu piaffes d'impatience en l'idée de plonger tête première dans tout ce mer... heu bord... heu, enfin là dedans, mais s'il te plait, soit prudent. »

Il se sentit coupable quand elle retira sa main. « Oui comme toujours » dit-il d’un don amusé.

Elle lui attrapa le bras, mais avec force cette fois et s'arrêta avant de planter ses yeux dans ceux de son compagnon "je suis sérieuse John. La prochaine fois, ils ne se contenteront pas de tenter de te faire emprisonner... il pourraient prendre des mesures plus... définitives !"

Il se stoppa fronçant des sourcils « Je sais Nathalie. » il soupira, l’entrainant avec lui.

Nathalie fit la moue. Elle ne doutait pas qu'il soit conscient des risques qu'il prenait, mais par contre, elle n'était pas persuadé que ça le refroidirait pour autant. Elle le suivit en soupirant.

Le discours d'Elizabeth laissa Nathalie sans voix. Elle aurait voulu protéger les coupable qu'elle ne s'y serait pas pris autrement. Elle débarquait de l'enquête les personnes les plus à même de la mener à bien, ceux qui avaient suivi les choses depuis le début.

Elle tourna les yeux vers son compagnon, avec une expression de totale incompréhension, cherchant sa main. Elle ouvrait la bouche pour lui demander comment il se sentait quand elle le sentit tressaillir et porter sa main à son cou avant de s'effondrer contre son voisin.

Le jeune homme, Adam, si Nathalie se rappelait bien, l'attrapa et l'accompagna au sol pour qu'il ne se blesse pas en tombant, puis s'efforça de le maintenir, alors que John était pris de convulsions.

La rouquine jeta un coup d’œil affolé autour d'elle, cherchant dans la foule un médecin ou une infirmière. Elle jeta un coup d’œil vers la passerelle où Elisabeth continuait son discours comme si de rien n'était avant de se retirer comme si elle prenait la fuite, sans même jeter un regard à son second !

Elle eu envie de hurler, personne n'allait donc rien faire pour John ? Elle plongea vers lui, posant ses mains sur sa poitrine.

- « John ! Tiens bon ! Ça va aller ! » déclara-t-elle

La foule s'était resserré autour d'eux, quelques membres de l'équipe médicale, aide soignants et infirmiers commençait à l'examiner, prenant son pouls...

Nathalie se sentait inutile... d'ailleurs elle l'était totalement. Elle avait probablement appris les geste de premiers secours, mais elle avait l'impression d'avoir tout oublié. Tout ce qu'elle pouvait faire c'était tenir la main de son amant et le supplier de se battre et de ne pas l'abandonner.

Puis, soudain, la foule se dispersa, sauf les soignants, une main se posa sur son épaule et elle leva les yeux pour découvrir le regard sombre de Coralie.

L'infirmière prit les choses en main, donnant des instructions aux médics déjà présents et appelant une équipe plus complète. En quelques minutes à peine, John fut pris en charge et conduit vers l'infirmerie. Nathalie ne se posa pas de questions et leur emboita le pas. Maintenant, elle en avait le droit et elle entendait bien le faire valoir !

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Mar 31 Jan - 12:13

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ft. John Sheppard

Un instinct de protection







J'étais partie cherché Nathalie, comme promis dès ma libration. Juste avant, j'avais fait un saut dans la chambre de Matt, lui apportant de quoi tenir et discuter un peu avec ma « super nounou ». Une boite de bonbon et sa DS pour qu'il puisse s'occuper…enfin s'il parvient à jouer avec une seule main, car son bras était dans un sale état. Faut dire que le jeune homme, je lui en devais beaucoup ses derniers temps, que cela soit de sa loyauté, de son amitié et de son sauvetage de ma compagne. Je crois que notre week-end entre mec sur le continent, allait vraiment se faire. Après de long échange teinté de fraternité bien masculine, je quittai sa chambre pour trouver celle de ma compagne.

À peine, eut-je le temps de l'ouvrir qu'elle me sauta dessus. Je ricanai amuser. Il n'y a pas à dire, elle était expressive et j'avais l'impression de l'avoir quitté pendant 1 mois, tellement elle était démonstrative. Je lui avais rendu son baiser tout guilleret de cet accueil et de ma liberté assurée.
Nous cheminons tranquillement dans le couloir, quand « l'alarme spéciale discours de Weir » se fit entendre. Ah tiens… nous allons avoir une annonce, peut-être allait t-elle dire que j'étais libre et Karola aussi ? Que maintenant, cela allait barder encore plus ? Faut dire qu'on m'avait écarté et ce n'est peut-être pas sans raison. Je comptais bien, plonger dans cette merde et aider les enquêteurs. Même si, les militaires étaient suspectés en priorité, il en avait pas mal, qui était les deux administratifs, preuves, qu'ils ne pensaient pas écarter les gris de l'histoire. Naturellement Nathalie, s'en inquiéta, de cette annonce souvent signe de malheur que de bonheur. J'eu une réaction un peu bête de recul, quand elle glissa son bras dans le miens. Je ne sais, je ne suis pas encore habitué à vivre ma « relation » en public. J'ai encore de mauvais réflexe et je savais que cela allait la vexer. La discussion, m'importuna, elle s'inquiétait comme toujours et personnellement, je ne voulais point de ça. Je savais les risques et j'avais signé pour.

En arrivant dans la salle d'embarquement, je croisai Adam, ravi de le revoir à mon tour. Je ne suis pas bien rancunier, car j'aurais pu lui en vouloir, ainsi qu'à Matt, Cody et Karola, de mon arrestation. Mais non, ils avaient fait ce qu'il fallait. Obéir aux ordres. J'aurais été vexé, s'ils avaient cru aux accusations par contre, mais vu leurs têtes, je ne pouvais pas leur en porté rigueur. J'avais été dans une colère noire certes, mais avec le recul je savais faire la part des choses.

Bon le discours de la dame, commençait bien. J'eu un petit rictus, qui disparue quand elle continua…ma mâchoire se décrocha… comment ça, je suis trop sentimentale ? On m'écarte car Nathalie a été agressée ? Mais c'est une blague ! Soudainement, les propos du major Woosley, me revenir en tête… cela allait me porter un jour préjudice d'être en couple. Je… je ne pensais pas que cela serait aussi rapide en plus d'être déchut de mon rang pour la seconde en quelques jours ! Non mais fallait le dire que je n’avais pas le droit d’avoir une chérie, ça aurait été moins humiliant ! Je sens, bien qu’on aille me dire « écoute sheppard, tu ne peux pas sortir avec l’assistante de Frei… tu vois si tu meurs, ça va coûter chère en allocation veuve ! » non mais c’est ridicule ! La colère commençait à inonder mon corps. Mais, ce n'est pas vrais ! C'est une blague, parce que j'ai quelqu'un et qui a réchappé, je peux plus diriger ? Non mais ça fait 1 an que je suis avec Nathalie non d'un chien ! Elle m'aurait sortie qu'il fallait que je largue Nathalie, je crois que cela m'aurait mis tout en autant en rogne. Mais Weir, ne comptait pas en restée là, bien entendue ! Elle s'attaqua au Major. Bon, elle venait de dire à tout le monde que la major, n'avait pas été que violenté physiquement. Ce fut une manière détournée mais pas top quand même. Après, elle avait peut-être raison, mais niveau discours, bof bof. Mon regard essaya de trouver Karola, qui fulminait clairement.

Elle froissa un papier… tiens, elle était tellement en stresse qu’elle avait eue besoin d’écrire ? Ou de tenir quelques choses en main ? Elle laissa en place Woosley, bon rien de surprenant mais Harris ? J’aurais mis Lorne, faire un duo de Major mais non… ou attendre que le colonel Cadwell arrive, puisqu’il devait se radiner avec le dédale dans les prochains jours. Pourquoi se précipiter ? J’allais, ouvrir ma grande gueule, quand ce fut le major qui parla, pour nous défendre, pas très ravie de cette décision, sortant peut-être tout bas, ce que tout le monde pense.

Bon la suite, ne me plaisait, pas, je raclai, ma gorge, pour passer les voix des deux jeunes femmes. Bordel, on ne va pas me faire taire aussi facilement.

« Bon Élisabeth … » quelque chose me picota… mes mains se mire à trembler et je manquais soudainement d’air. La reste, je m’en souviens plus, je sentis simplement, mon corps me dire merde et mon esprit partir en vrille, voir des silhouettes autour de moi, alors que je manquais d’air de plus en plus. J’étouffais et je tremblais … il m’arrive quoi là ? POUF extinction des feux, Sheppard n’est plus aux commandes.






- Adrenalean 2016 pour Bazzart.


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Atlantis
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Mar 31 Jan - 15:01

Atlantis
Modification : Lorne étant à l'infirmerie

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