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Chaud devant !

 :: Cité d'Atlantis :: Niveau 7 - Zone Scientifique et Technique :: Laboratoires
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Dim 17 Juil - 22:33

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Qui avait-il de plus agréable que de travailler tôt le matin ? Travailler tôt le dimanche matin ! Il n’y avait pas âme qui vive dans la cité à 6h, sauf les éternels militaires qui erraient dans les couloirs pour faire leur ronde. Pour rien au monde la jeune femme n’enviait leur place. Cela devait être tellement déprimant d’arpenter des kilomètres et des kilomètres de coursives. D’ailleurs, cela se voyait sans peine sur leur visage que ce n’était pas une activité qui les ravissait. Sur le chemin du labo, de si bon matin, Victoria en croisa deux qui marchaient à un rythme peu soutenu, qui ne s’adressaient pas la parole et qui de surcroît tiraient la tête. Ce qui était loin d'être son cas à elle, bien qu'elle souffre toujours de la vilaine entorse qu'elle s'était faite lors de sa première mission et qu'elle doive toujours porter une attelle à la cheville un peu gênante. 

En passant à côté d’eux, la jeune femme leur adressa un grand sourire histoire de les dérider un peu. Dans un premier temps ils l’observèrent, étonnés. Puis, le miracle opéra car tous deux la saluèrent en la gratifiant à son tour d’un sourire. Elle ignorait combien de temps leur tour de garde durerait encore mais elle espérait bien que son simple sourire les aiderait à supporter les longues minutes qui les attendaient encore.

Arrivée à un embranchement, elle tourna à droite. Elle était arrivée depuis deux semaines, aussi, elle connaissait à présent le chemin par cœur. Il faut dire qu’elle avait la chance d’être dotée d’un excellent sens de l’orientation, aussi se repérer dans le dédale des couloirs d’Atlantis n’était pas si terrible qu’on le lui avait dit. Elle avait mis deux jours pour repérer les principales zones de la cité et donc notamment son laboratoire où elle se rendait. Comme elle s’y attendait, l’endroit était parfaitement vide lorsqu’elle y débarqua. Un vrai bonheur, non pas qu’elle soit misanthrope, bien au contraire. Mais lorsqu’elle avait des travaux importants à faire, elle appréciait de travailler dans le calme, loin de la cohue. 

Ce matin elle avait pour objectif de terminer un compte rendu de tests pharmacologiques qu’elle avait menés. Ils avaient porté sur l’étude des interactions entre les extraits de plantes qu’elle avait été ramasser sur le continent en compagnie du charmant Caporal Kyle qui l’avait bien aidée.


Elle avait bien avancé dans son travail aussi, seule la conclusion restait à rédiger. Comme elle avait bien les choses en tête et qu’elle avait eu le temps d’y penser la nuit, cela ne lui prit guère plus d’une demi-heure et au moment où le soleil commençait à se lever sur la cité, elle rangea tous ses documents dans une boîte en carton. Etant donné la masse de papiers que son travail avait nécessité, cela serait beaucoup plus simple de transporter le tout comme ceci. Au moins, elle ne risquait pas de perdre une feuille en route ! 

A présent, elle devait rejoindre l’infirmerie afin de donner son rapport au Docteur Isia Taylor Laurence, une grande blonde fantasque avec qui elle travaillait en collaboration sur le sujet. Elle devait lui présenter les résultats de ses recherches pour voir si la confection d’un produit était possible. Avec son carton dans les bras, elle sortit du laboratoire et se mit en marche vers sa destination. Pas besoin de vraiment regarder où elle allait, là aussi elle connaissait le chemin par cœur. A tel point qu’elle ne faisait pas vraiment attention à la route qu’elle empruntait et était plutôt plongée dans ses pensées, se demandant ce que le docteur Taylor Laurence allait penser de son travail. Grand mal lui en prit car elle prit un virage de manière un peu trop serrée et n’eut pas le temps de voir qu’en face, quelqu’un arrivait vers elle à la même allure. Aucun des deux n’eut le réflexe de s’arrêter, aussi la collision fut inévitable et avec elle s’éparpillèrent dans les airs et par terre les centaines de feuilles que Victoria avait soigneusement classées plus tôt.

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Jeu 28 Juil - 14:56

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Chaud devant !
feat. Victoria Wilde
J'adooooore cet endroit ! C'est tellement immense que je prend plaisir à me perdre dans tout ces couloirs. Bon d'accord, ça m'attire quelques fois les foudres des patrons mais à quoi bon être dans un endroit comme celui là si je ne peux pas le visiter et me trimballer dans tout ces petits recoins cachés. Enfin bon, c'est bien décidé à partir à la découvertes de la cité que je me suis levé ce matin. Ma garde ne commence que dans 3h donc autant en profiter pour jouer les touristes non ? Après un petit footing dans les couloirs, une bonne douche et un bon petit déjeuner, c'est les mains dans les poches que je flâne à la recherche d'un endroit que je n'ai pas encore visité. Ca grouille de gens, aussi bien militaires que rats de labos et je suis assez étonné de les voir avec le sourire aux lèvres. Quand on débarque ici, on a plus l'impression d'arriver en colonue de vacances que sur un lieu de travail. Dans le dédale de couloirs, je fais la connaissance de quelques personnes. Certains devninent de suite que je viens d'arriver, d'autres au contraire pensent que je suis là depuis un long moment maintenant et je prend plaisir à entrer dans le jeu. Bon généralement je me fais griller au bout de 5 minutes quand ils se rendent compte que je suis incapable de tenir une conversation sur le temps qu'il fait ici. A vrai dire, je n'ai pas encore pris le temps d'aller prendre l'air et de me balader sur les digues et c'est une chose que je compte bien réparer.

Tout sourire, décontracté, je ne peux pas m'empêcher de penser à la chance que j'ai d'avoir été choisi pour venir ici. Maintenant il ne me tarde qu'une seule chose, pouvoir piloter un de ces petits joujous qu'ils appellent jumper. Je suis déjà allé dans le hangar et je crois que j'avais la tête d'un môme qui découvre ses cadeaux le matin de Noël. Je n'ai pas encore pu monter là dedans, mais me tarde de pouvoir jouer avec. Enfin bref, j'espère que je ne vais pas attendre très longtemps. Je suis perdu dans mes pensées, je ne regarde même pas où je met les pieds et ce qui devait arriver arriva. Sans même savoir comment ni pourquoi, je percute quelque chose, ou quelqu'un étant donné que j'entend un petit cri de surprise. Pas le temps de voir de qui il s'agit parce que dans mon geste malheureux, je me rend comtpe que je viens de faire tomber une tonne de dossiers. Je me baisse pour m'empresser de tout ramasser et surtout pour éviter de me faire engueuler. A genoux sur le sol, je ramasse tout ce que je peux et je me confond en excuse.

- Désolé, je pensais à quelque chose et...

Alors que je me redresse et que je tend les papiers à la femme devant moi, je ne peux pas m'empêcher de pousser une exclamation quand je me rend compte que je la connais.

- Bordel de merde...

Les bras m'en tombent, je suis comme un con, planté devant elle. Oh si je ne la connaissais pas, je pourrais me dire qu'elle va me dire que ce n'est pas grave etc mais comme je la connais, je sais déjà que je vais me faire engueuler comme du poisson pourri. Finalement, c'est peut être une bonne chose que ces couloirs soient interminables. Avec un peu de chance si je me tire en courant maintenant, je vais sûrement réussir à la semer.
(c) AMIANTE


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Sam 20 Aoû - 19:51

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Durant son voyage pour Atlantis, à bord du Dédale, on avait bien prévenu Victoria sur ce qui l’attendait une fois là-bas. On l’avait bien prévenu que sa vie serait tout à fait différente, que ses habitudes et ses certitudes allaient être bouleversées. On lui avait encore dit bien d’autres choses encore et la jeune femme avait posé le pied sur Atlantis en pensant ne pas avoir de surprise, en tout cas pas autant que ça. Cependant, on avait oublié de lui préciser que si le monde était petit, l’univers visiblement l’était tout autant. Elle allait bien vite s’en rendre compte une fois le choc de la bousculade encaissée. Heureusement, ça n’avait pas été si violent que ça, à tout le moins elle ne s’était pas retrouvée par terre. Et surtout, sa cheville droite qui avait subit une entorse quelques jours auparavant lors de sa mission pour récolter des plantes, ne semblait pas non plus avoir morflé. Pourtant, il lui avait semblé s’être heurtée à une solide armoire à glace. Enfin, plus que son état, c’était tout son travail qui l’inquiétait.

Une fois ses esprits repris, elle constata que toutes les feuilles gisaient en désordre sur le sol. Pressée par le temps et surtout en imaginant le temps que de tout remettre en ordre va lui prendre, Victoria ne fait même pas attention à son vis-à-vis, qui, comme elle, s’affaire à ramasser ses affaires. En soi, ce n’était pas bien grave ce qui venait de se passer, cela pouvait arriver à tout le monde de ne pas faire attention à l’endroit où il mettait les pieds. A cette heure aussi matinale, il y avait en plus peu de chance de croiser du monde. Alors la jeune femme n’était aucunement fâchée, elle se doutait bien qu'au final, elle finira par en rire.

Mais alors qu’elle s’apprêtait à se relever, à s’excuser de sa maladresse, un tas de feuilles dans les bras, elle fut interrompue dans son élan par la voix de la personne qu’elle venait de percuter. Les paroles de son interlocuteur étaient empreintes d’un timbre qu’elle aurait reconnu d’entre tous. Cela était très certainement dû au fait qu’elle en connaissait très bien son propriétaire. Victoria, qui n’est pas pour un sou une jeune femme désagréable et encore moins froide, sentie ses lèvres se pincer et son regard se durcir. Elle avait devant elle une personne qu’elle n’aurait jamais imaginée voir ici et qu’elle aurait encore moins voulu revoir un jour. D’ailleurs, lui non plus ne semblait pas y croire si on prenait en compte le juron qu’il lâcha lorsqu’il s’aperçut que c’est elle qu’il avait en face de lui. Occultant le fait qu’ils se trouvent alors tous les deux à des années de lumière de la Terre, elle ne peut s’empêcher de s’adresser à lui sur un ton de reproche.

-Visiblement, on dirait que vous êtes né pour saboter mon travail.

Et sans demander son reste, la pharmacologue arracha d’un coup sec les feuilles qu’ils venaient de ramasser au sol et daigna à peine lui accorder un regard. Elle se releva et lui tourna vivement le dos afin de ne plus l’avoir dans son champ de vision et de continuer son chemin, en boitant légèrement à cause de son entorse mais aussi en oubliant par la même occasion une dizaine de feuilles restées par terre.

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Mer 24 Aoû - 15:15

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Chaud devant !
feat. Victoria Wilde
Avec tout le monde qu'il y a ici et toute la place et les couloirs qui parcourent la cité, il faut que je trouve le moyen de tomber sur la seule personne que j'ai pas envie de voir. Ok j'aurais pu faire plus attention mais est ce que c'est une raison pour me faire mitrailler du regard comme elle est en train de le faire actuellement. Wilde ou comment jeter un froid tout autour d'elle... Je fronce les sourcils quelques secondes alors qu'elle me dévisage. Je sais pas si elle se souvient de moi et en fait j'en ai strictement rien à faire. Les secondes passent, je tiens un paquet de ses feuilles dans mes mains et finalement, elle sort une phrase qui ne laisse plus aucun doute sur le fait qu'elle se souvienne de moi ou pas. Je lève les yeux au ciel, elle a le don de m'agacer celle la et j'ai qu'une envie, c'est celle de lui faire bouffer ses feuilles pour qu'elle se taise et arrête de s'adresser à moi avec ce ton hautain. Sans bouger, toujours à la même place, je ne peux pas m'empêcher de répondre à sa remarque cinglante.

- Et vous, vous avez le chic d'être toujours dans mes pieds.

Je laisse échapper un soupir qui ressemble presque à un grognement. Elle a de la chance d'être une femme parce qu'on m'a bien élevé et on m'a toujours dis de pas cogner le sexe opposé.... La harpie m'arrache les feuilles des mains, sans même un merci et tourne les talons sans même m'adresser un regard. J'aurais bien un petit adjectif à lui donner mais je vais éviter sinon ça va se transformer en bataille rangée dans les couloirs. Elle s'éloigne de moi et je hausse un sourcil en constatant qu'elle en oublie la moitié de ses feuilles. Elle a peur que quoi, que je la bouffe ? Je pousse un soupir, agacé et je me met à ramasser le reste des feuilles qui traînent sur le sol. Je fais même bien attention à ne pas les plier, décidément, ma bonté me perdra. Même si elle boîte, la colère qu'elle ressent pour moi doit lui donner des ailes puisqu'elle a déjà mis une petite distance entre nous. Peu importe, je ne me dégonfle pas, je m'empresse de la rejoindre et je me place à sa hauteur.

- On dirait que vous en avez oublié d'autres.

Sourire jusqu'aux oreilles sur les lèvres, je me met devant elle histoire d'être encore en travers de son chemin. Je lui tend les feuilles et tout fier, je rajoute.

- Et maintenant on dit "Merci Caporal, vous êtes bien aimable".
(c) AMIANTE


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Ven 23 Sep - 20:07

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Evidemment, comme il fallait s’y attendre dans ce genre de situation où un malheur n’arrivait jamais seul, elle se doutait un peu que sa rencontre percutante avec cet individu ne se terminerait pas aussi facilement qu’elle avait fui. D’abord parce que tous les deux se connaissaient et ensuite parce que dans sa hâte, elle avait oublié quelques documents. Pour couronner le tout, l’entorse dont elle avait été victime lors de sa première mission ne lui permettait pas d’aller aussi vite qu’elle le voulait. Il y avait des jours comme ça, où l’Univers s’acharnait, et manque de bol, pour Victoria c'était aujourd'hui. Pourtant, il ne lui avait pas semblait avoir fait quoique ce soit qui mérite d’être puni, bien au contraire.

Claudiquant dans les couloirs, elle essayait tant bien que mal de disparaître du champ de vision d’Arno, de le semer afin d’être tranquille. C’était sans compter sur sa malchance du jour qui avait décidé de se placer du côté du militaire, qui ne mit pas longtemps à la rattraper. Marchant à ses côtés, ajustant ses pas aux siens, il lui tendit la liasse de feuilles qui lui appartenaient. Les lui agitant carrément sous le nez, au cas où elle serait aveugle et très certainement pour l’asticoter. D’ailleurs, il poussa le vice jusqu’à se planter carrément devant elle, la contraignant à s’arrêter avant de le percuter de nouveau.

La jeune femme, debout et immobile face à lui, finit par daigner poser ses yeux sur lui pour la première fois depuis leurs « retrouvailles ». Son sourire tiré jusqu’aux oreilles, son regard empli de fierté et surtout, la pique qu’il lui lança lui firent froncer les sourcils. Elle attrapa d’un geste vif ses feuilles tout en prenant soin de le foudroyer du regard, histoire qu'il comprenne qu'elle, elle n'était pas d'humeur à plaisanter. En essayant de les ranger avec le reste du paquet, elle remarqua qu’elles étaient froissées, ce qui n’arrangea pas la colère qui commençait à l’envahir.
« Merci, Caporal, de saboter une fois de plus mon travail ! »

Victoria n’était pas du tout le genre de personne à s’emporter pour rien ou encore à en vouloir aux gens, pourtant là c’était le cas. Arno était l’exception qui confirmait la règle. Il était le seul qui avait réussi à la mettre dans un tel état, et pour cause, alors qu’ils travaillaient tous les deux au SGC, le militaire avait eu le malheur de détruire une grande partie de son travail sur lequel elle avait passé plusieurs mois. Cela l’avait non seulement fait passer pour une incompétente auprès de ses confrères mais ses supérieurs lui avaient également retiré ce projet qui lui avait tenu très à cœur. Depuis, elle n’avait plus voulu entendre parler de lui et avait tout fait pour ne plus croiser sa route, jusqu’à aujourd’hui.

Un peu exaspérée par la vision de ses feuilles froissées et surtout par le comportement puéril et inconsidéré d’Arno, elle tenta tant bien que mal d’aplanir les documents, soufflant à haute voix mais pour elle-même, sans jeter un regard à son vis-à-vis.
« Je ne peux pas rendre mon travail dans cet état, je vais encore être la risée de mes collègues… »

Elle n’avait plus qu’à faire demi-tour et à retourner tout réimprimer, ce qui à coup sûr, allait la mettre en retard.

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Invité
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Jeu 3 Nov - 14:32

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Chaud devant !
feat. Victoria Wilde
Saboter son travail... Tout de suite les grands mots. Je pousse un soupir exaspéré et je croise les bras sur le torse, amusé de la voir toujours aussi mauvaise que dans mes souvenirs. On a tendance à dire que les gens se bonifient avec le temps... ben là, j'ai tendance à dire qu'il n'y a pas de changement et que je pense même que c'est pire qu'avant mais ça, je le garde pour moi. Pas envie de m'attirer les foudres de cette hystérique.

- Et l'idée que ce ne soit pas volontaire ne vous a pas effleuré l'esprit ? Vous qui êtes scientifique... Suis déçu.

Comment rendre une nana folle en dix leçons avec Arno Wilson. C'est bête mais je sais déjà parfaitement comment elle va réagir et je crois même que si je ne me prend pas une gifle, j'ai de la chance. Bon d'accord ce n'est pas la première fois que je fais cette boulette mais la première fois c'était des éprouvettes et je pense que là, des papiers, c'est bien moins grave mais ce n'est que mon avis hein et vu la colère dans ses yeux, je doute qu'elle soit de mon avis. Je l'observe alors qu'elle souffle, qu'elle essaye tant bien que mal de remettre ses feuilles dans un meilleur état. Je sais pas pourquoi, je sais pas d'où ça sort, mais mon côté humain décide de lui apporter mon aide. Sans attendre, je ramasse les feuilles par terre et à mon tour je décide de les aplatir pour leur rendre leur apparence ou du moins ce qui s'en approche le plus.

- Je suis désolé pour cet accident de parcours et je suis sincère.

Même si il y a de fortes chances qu'elle ne me croit pas, au moins, elle pourra pas me reprocher de ne pas m'être excusé.

- Est ce que je peux faire quelque chose ?
(c) AMIANTE


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